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1 janvier 2017 7 01 /01 /janvier /2017 15:54
Gorron en cartes postales…

 

Vues générales

 

161 – GORRON (Mayenne) – Vue prise du Pont des Martyrs              Phot. Chantepie, Gorron

 

La photo est prise du pont du bas de la rue du Maine (route de Brecé) enjambant le bras de la Colmont arrivant au niveau des HLM après avoir longé la rue du Pré. Nous avons déjà évoqué le nom du lieu : « les martyrs » (qui est le point de départ d’un roman historique à paraître en 2019).

La maison qu’on distingue à l’arrière-plan se situe route de Saint-Etienne. Elle appartient à la famille Dollé (famille d’un ancien maire de Gorron). Dans le champ où l’on voit des faucheurs, on a construit l’ancien complexe sportif Lucien Dollé prolongé par le nouveau Maurice Dufour (autre maire de Gorron).

Le mur, sur lequel est assis un enfant, correspond à l’emplacement de l’ancienne piscine qui sera choisi en 1943. Une interrogation : le bras de la Colmont sur lequel a été creusée la piscine a-t-il été retracé à cette période ? Sur la photo, on ne voit pas l’arrivée de ce bras.

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1 janvier 2017 7 01 /01 /janvier /2017 15:50

La rue de Bretagne

 

Rappel : les recensements de 1846, 1906, 1962, nous ont permis de faire la liste des patronymes présents sur deux, voire trois, d’entre eux. Nous allons maintenant suivre les familles retenues, voir si elles ont un lien entre elles et combien de temps elles ont pu résider rue de Bretagne.

 

Les patronymes présents en 1846 et 1906 ; Gendron (Pierre, Marie, Constant, Ernestine, Maria, Justine, Jean) ; Buin (Marie) ; Gesbert (Victor) ; Lemonnier (François) ; Blanchetière (Pascal) ; Goussin (Sophie, Marie, Eugène) ; Cerisier (Augustine) ; Liger (Victor) ; Landais (Henri).

 

Les patronymes présents en 1906 et 1962 : Gesbert, Lévêque, Leblanc, Gayet, Lory, Renard, Daguier, Monnier, Poirier, Caillère, Fournier, Bourgault, Belloir, Gendron, Pottier.

 

Nous commencerons donc par les patronymes présents sur les trois recensements : Gendron, Gesbert,

 

La famille Gendron ouvrira la recherche. Il y a deux familles Gendron, rue de Bretagne, en 1846 :

  • Pierre Gendron (marchand) et Perrine Lepoureau.
  • Jean Gendron (laboureur) et Jeanne Loyer.

 

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1 janvier 2017 7 01 /01 /janvier /2017 15:47

 

Les familles d’origine gorronnaise au 19e siècle.

 

Familles retenues : Oger, Foureau, Ernault, Milard, Rouillard, (Le)Baillif, Lambert, Garnier, Gesteau, Ruault, Galienne, Loyer, Roger, Heuveline, Gesbert, Liger, Le Gros, Béchet, Morin, Meslin, Briman, Cholet, Douillet, Duschénay, Manceau, Bichet, Roussel, Bouillon, Barbot, Milet, Courteille, Demélay, Volcler, Lecourt, Normandière, Gourdelier.

 

Auguste Delangle (cultivateur) et Adèle Pouchard (cultivatrice) (24/07/1898)

 

Jean Delangle (cultivateur) et Marie Boitin (cultivatrice) (21/04/1856) ; Romain Pouchard et Adèle Coutard (cultivatrice) (21/01/1864).

 

René Boittin (laboureur) et Françoise Geslan (30/06/1829)

 

Pierre Boitin et Marie Colin.

 

La famille Boittin (Boitin) est retenue pour la recherche.

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1 janvier 2017 7 01 /01 /janvier /2017 15:44

 

Le manoir du PlessisColombiers du Plessis

 

Aucun vestige historique n’atteste de la présence de population sur le territoire de la commune aux temps préhistoriques.

Les premières références concernant le lieu, données par L’abbé Angot, datent de 1066-1100.

Le premier curé cité dans le même ouvrage est Raoul Caydon en 1317. L’église en tant que bâtiment date du 16e siècle.

Les seigneurs du lieu les plus anciens appartiendraient à une famille de chevaliers : la famille de Colombiers. Sa présence est attestée avant 1100 : en l’occurrence le chevalier Geoffroy de Colombiers.  Cette famille a fait des dons à l’abbaye de Fontaine-Daniel, dont le four qu’elle possédait à Gorron. L’abbaye de Savigny a eu des fiefs importants dans la paroisse grâce à des dons d’autres familles ayant succédé à celle de Colombiers.

A noter qu’en 1609, les seigneurs du Plessis-Châtillon acquirent « une maison seigneuriale, des domaines, moulins… » sur la paroisse.

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25 décembre 2016 7 25 /12 /décembre /2016 12:13

Article VII : Entrée de Fleury dans sa paroisse de Vieuvy

 

Illustration : Croix cémétériale de Vieuvy (v. 1600). Détail du croisillon : La Vierge à l'Enfant.

 

            Après ces quelques mots sur les Mémoires de Jacques-Pierre Fleury, nous reprenons l'étude de la vie de l'abbé là où nous l'avions laissée et nous allons nous intéresser de près à ses premiers mois dans sa nouvelle paroisse de Vieuvy, où il est installé le 26 novembre 1788. La prestimonie de la Baconnière lui est également attribuée. Les personnes qui voudraient connaître ces moments en détails peuvent consulter l'édition des Mémoires par Piolin (p. 19 à 30). La paroisse de Vieuvy dépend alors de l'archidiaconé et du doyenné de Passais, et on y dénombre 380 habitants et 260 communiants.

Fleury succède à Étienne Carré (frère du curé de Saint-Martin de Mayenne), gradué d'Angers, curé de Vieuvy depuis le 31 juillet 1754. Une note de l'évêché datée de 1778 dit de Carré qu'il « a bien soin de son église, paraît être fort honnête homme, a du zèle ».

L'historienne Frédérique Pitou résume ainsi l'appréciation de Fleury sur sa nouvelle paroisse et ses ouailles : « Il est très satisfait des usages établis en sa paroisse, qu'il attribue à son prédécesseur qui ne ''badinait pas'', mais aussi au fait que les campagnes sont protégées des maux qui atteignent volontiers ''les villes et les grandes paroisses''. Les examens sur le catéchisme, l'assistance pieuse aux offices, l'observation des dimanches et des fêtes, le jeune en carême, la communion régulière (quatre fois dans l'année), la douceur et la pureté de ses habitants sont des habitudes conformes à ses souhaits. »

L'église de Vieuvy est dédiée à Notre-Dame. Fleury écrit : « jolie, le chœur vaste et le grand autel majestueux. […] Le trésor consiste en trois beaux calices, un ostensoir, une grande croix, un ciboire, une custode, vases pour les saintes huiles, le tout en argent ; deux cloches. »

 

Joyeuses fêtes de Noël à tous,

 

Corentin Poirier

 

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25 décembre 2016 7 25 /12 /décembre /2016 12:11
Gorron en cartes postales…

 

Vues générales

 

GORRON (Mayenne). – Les Bords de la Colmont          Photo Victor Chantepie, Gorron (Mayenne)

 

Plusieurs repères nous permettent de situer le lieu d’où est prise la photo ;

  • A gauche, le Pont de Hercé et audessus le cimetière.
  • En face, l’église avec le presbytère.
  • En haut, à droite, légèrement estompé, le dôme caractéristique de la mairie.

 

Le photographe, Victor Chantepie, devait donc se situer au niveau de l’ancienne ligne de chemin de fer, actuellement rue du Plan d’Eau.

Un rideau imposant de peupliers nous empêche de voir en détail les bâtiments. Il nous renseigne cependant sur le cours de la Colmont à l’époque plus près de l’ancien hospice que ne l’est celui de la rivière actuelle après l’assèchement du plan d’eau.

 

A noter ce qui semble bien un poteau électrique planté en plein champ de la Motte.

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25 décembre 2016 7 25 /12 /décembre /2016 12:07

 

La rue de Bretagne

 

1962 (fin)

 

Pierre Launay (charcutier)/Annick Barbier ; Amand Lévêque (cordonnier)/Ernestine Lory (marchande de primeurs) ; Victor Leblanc (tonnelier)/Marie-Louise Gandais ; Alice Rivière (corsetière) ; Maria Louvigné/Renard ; Marie-Louise Daguier/Rublier (manutentionnaire) ; Jacques Bouchon (quincaillier – plombier)/Yvette Lepont ; Charles Marolleau (employé de bureau)/Louise Lebossé (commerçante chaussures) ; Augustine Monnier/Poirier ; Liliane Carlevaris/Concaves (Hôtelière) ; Marie Caillère/Fournier ; France Morin (épicière) ; Georges Albouy (magasinier)/Denise Brenguier ; Léa Duverger/Bourgault ; Albert Leblanc ; Gaston Blot (ouvrier d’usine)/Thérèse Lefizelier ; Pierre Lepouriel ; Clément Bahier (ébéniste)/Charlotte Guiard ; Maria Belloir/Dubois ; Jean-Paul Garnier (notaire)/Simone Schleiter ; Juliette Lesault/Barbault ; Pascal Gendron (comptable)/Germaine Clément ; Marie-Lise Pottier/Gendron ; Ernestine Gendron/Gendron (mère).

 

Les patronymes présents en 1906 et 1962 : Gesbert, Lévêque, Leblanc, Gayet, Lory, Renard, Daguier, Monnier, Poirier, Caillère, Fournier, Bourgault, Belloir, Gendron, Pottier.

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25 décembre 2016 7 25 /12 /décembre /2016 12:04

 

Les familles d’origine gorronnaise au 19e siècle.

 

Familles retenues : Oger, Foureau, Ernault, Milard, Rouillard, (Le)Baillif, Lambert, Garnier, Gesteau, Ruault, Galienne, Loyer, Roger, Heuveline, Gesbert, Liger, Le Gros, Béchet, Morin, Meslin, Briman, Cholet, Douillet, Duschénay, Manceau, Bichet, Roussel, Bouillon, Barbot, Milet, Courteille, Demélay, Volcler, Lecourt, Normandière, Gourdelier.

 

Florent Chantepie (tanneur) et Marie Brimand (ouvrière en robes) (11/01/1873)

 

Louis Auguste Chantepie (charpentier) et Céleste Morin (fileuse de laine) (08/07/1848) ; Pierre Briman (menuisier) et Adélaïde Perrine Cholet (29/04/1839)

 

Augustin Morin (tisserand) et Jeanne Montécot (10/01/1808) ; Jacques Briman et Perrine Corbeau ; François Cholet et Aimée Françoise Le Marchant (29 pluviôse an X – 18/02/1802).

 

Julien Morin et René Dubourg.

 

Nous retiendrons les familles : Morin, Briman (Brimand), Cholet

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25 décembre 2016 7 25 /12 /décembre /2016 12:00

 

Châtillon-sur-Colmont

 

Conclusions

 

Les quelques articles concernant les bourgs et villages du canton de Gorron ne prétendent évidemment pas à l’exhaustivité. Ils permettent cependant de voir que la plupart des agglomérations connaissent à peu près la même évolution : la présence de groupements humains très anciens, l’apparition de châteaux appartenant à des familles nobles en parallèle avec la constitution d’églises, l’émergences de familles de notables qui développent les activités industrielles, minoritaires par rapport aux activités agricoles, mais socialement importantes.

Nous arrêtons nos recherches à la fin du 19e siècle. Sur certains sites internet, l’histoire des communes du canton apportent bien d’autres informations. C’est le cas notamment du site consacré au patrimoine de Châtillon.

Nous retiendrons, par exemple, la création d’une entreprise de fabrication de chaussons, vers 1894. Dans notre propre recensement, nous avons vu la fréquence importante de l’activité de « chaussonnières » à la fin du 19e siècle. Le site nous apporte les informations suivantes : 

« Les ouvrières passaient un mois à l’atelier, en apprentissage, puis elles travaillaient à leur domicile ou dans leur famille. Elles étaient pourvues d'un métier à tisser, de l'outillage nécessaire et d'un lot de filet.

Chaque samedi, le travail exécuté dans la semaine était remis au magasin. Il était payé à la douzaine, selon la taille. Chaque ouvrière repartait ensuite avec la provision de filet nécessaire pour la semaine suivante ».

A noter, enfin, que le repreneur de l’usine de chaussures Fauchard à Gorron en 1951 (Société BTB : Bart, Testu, Bertrand), M. Henri Bart, était fabricant de chaussons à Châtillon.

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18 décembre 2016 7 18 /12 /décembre /2016 10:58
Gorron en cartes postales…

 

Vues générales

 

Vue aérienne de Gorron

 

La photo concerne la partie nord-ouest de la ville autour de l’église. Elle a été prise avant le percement de la rocade. On y voit beaucoup de constructions dont nous avons souvent parlé sur le blog. L’église d’abord, avec le terrain de basket à droite, utilisé par les établissements scolaires privés confessionnels. Le boulevard Faverie et les trois rangées de marronniers. A gauche, la maison du docteur Daniel avec son cabinet de consultation. Derrière, le presbytère. Plus loin, le cinéma tel qu’il a été reconstruit après son incendie dans les années 1950. A droite, au haut de la rue de la Croix, le bâtiment dans lequel se déroulaient les séances de cinéma après les activités du patronage. On peut penser que cette photo a été prise dans les années 1960. On aperçoit, tout au fond, la station de pompage peu avant le Taillis de la Mort. A noter les deux petits camions garés boulevard Faverie qui semblent bien dater des années 1950/1960.

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Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par courriel à l'adresse suivante : jouvinjc@wanadoo.fr

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