Un descendant de la famille D. nous a transmis des documents concernant cette famille que nous avons suivie pendant plusieurs semaine sur le blog. (suite).
La carrière de Victor Ducoin (1907 – 2001) retracée par lui sur le document ci-contre, nous permet le recensement des fabriques de chaussures Gorronnaise (évoquées en détail sur le blog).
Goussin, Fauchard, Bonnant : rue Jean-Jacques Garnier.
Goussin : rue des Sarrazins.
Goussin, Lefort, Rossignol frères : rue des Sarrazins.
René Fauchard : rue des Sarrazins.
Bar, Testut, Bertrand) : rue des Sarrazins.
Moche : rue des Sarrazins. Puis Manufacture Gorronnaises de chaussures (direction Lafontaine).
Photo : Victor Ducoin, sa femme Lucienne Guerrier et leur fils Jean-Louis.
Un descendant de la famille D. nous a transmis des documents concernant cette famille que nous avons suivie pendant plusieurs semaine sur le blog.
Le cadre ci-contre correspond à une reconnaissance décernée à Jean Constant Ducoin pour trente ans de service comme sapeur-pompier. Décernée en 1912, Il serait donc entré dans la compagnie des sapeurs-pompiers (crée en 1852 à Gorron) en 1882. Né en 1860, il avait donc l’âge de 22 ans.
Il était à l’époque célibataire. Il se mariera avec Vitaline Duroy en 1887 et décèdera en 1929.
Lande de la Mennerie (La Mennerie) : famille Cellier (Polisse, veuve Cellier) ; famille Manceau ; famille Brichet ; famille Gasté ; famille Lhuissier ; famille Jouas ; famille Meslin ; famille Cordier.
La Joussière (la Jeussetière) : famille Pottier ; famille Grangeré.
Sur le plan de 2017, nous trouvons : les 4 vents ; la distinction entre la Menerie et la Grande Mennerie et la Jeussière au lieu de la Joussière.
A partir des photos de pierres lithographiques transmises par Alban Giroux (albangiroux94@gmail.com), nous revenons sur la manufacture de chaussures Fauchard et Bonnant, société à responsabilité limitée, remontée rue Jean-Jacques Garnier après l’incendie de février 1926 de l’ancienne fabrique (Fauchard, Bonnant, Goussin). Fabrique qui se retrouvera très vite en déficit et sera liquidée en avril 1935.
Ci-joint : la pierre permettant l’impression de textes et d’images ; une facture de 1932 émise par la fabrique.
On peut comprendre qu’on ne soit pas intéressé par les vieilles pierres ou le patrimoine en général. Mais de là à détruire une ancienne pierre tombale plutôt que de la donner à quelqu’un intéressé à la conserver me dépasse. C’est ce qui est arrivé à la pierre ci-contre, il y a encore peu.
A défaut d’avoir pu la photographier, je vais rappeler la mémoire de celui pour qui, dans l’ancien cimetière de Gorron (autour de la vieille église située près de l’actuelle), elle a été gravée.
Il s’agit de Julien Lebrun, curé de Gorron. Bachelier en droit et en théologie de l’université de Paris, il a pris la cure le 6 février 1664. Il est mort à Gorron le 6 septembre 1677.
Souvent, dans les villages ou les villes ayant pour origine des fortifications médiévales, la présence de souterrains attire l’attention, alimente l’imagination de beaucoup de personnes. Sur le blog, nous avons déjà évoqué ceux de Gorron. Et, notamment, la cave située rue des Sarrazins, présentée par certains comme le départ de deux souterrains de fuite allant jusqu’à l’église voire le château du Bailleul en Hercé.
Sans preuve, je pense qu’il s’agit plutôt de caves imposantes. Mais je comprends qu’on puisse fantasmer sur des souterrains mystérieux creusés au cours des siècles passés. La visite d’une autre cave, près de celle dont il vient d’être question, montre un deuxième niveau qui peut entretenir l’hypothèse d’un départ de souterrain de fuite. Rien n’est prouvé mais la photo ci-contre peut nourrir l’imagination.
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Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par
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