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17 janvier 2021 7 17 /01 /janvier /2021 11:48

1813

Janvier/juin

 

Janvier : naissances : 7 ; décès (- d’1 an) : 3 ; mariages : 6 ; décès : 3.

Février : mariages : 4 ; naissances : 5 ; décès : 6.

Mars : naissances : 3 ; mariages : 5 ; décès (- d’1 an) : 1 ; décès : 1.

Avril : décès : 7 ; mariages : 7 ; naissances : 6.

Mai : décès : 3 ; mariage : 1 ; décès (- d’1 an) : 2 ; naissances : 3.

Juin : naissances : 4 ; décès : 1 ; mariages : 2.     

 

Métiers

Gilles Normandière, Pierre Rouillard, François Bouillon : charpentiers ; Jules Péan, Eugène Poirier : praticiens ; Julien Rouillard, Augustin Bougrain  : marchands de fil ; François Richet : sacriste ; Louis Berrier, Julien Gallienne : aubergistes ; Pierre Le Bullenger : menuisier ; Mathurin Cornu, Michel Le Sage : maçons ; Jean Rimbault, Jean Le Brun : filassiers ; Julien Chevillard : sabotier ; Jacques Tommerel, Pierre Berrier : boulangers ; Julien Garnier, Jean Renard, Jacques Loyer : bouchers ; Pierre Fillâtre : roitier ; Guillaume Roulette : serrurier ; Gabriel Galopin : marchand de poterie.

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17 janvier 2021 7 17 /01 /janvier /2021 11:46

Les familles ayant exercé le métier le plus longtemps  à Gorron.

Joseph Fourmond, né en 1880 à Saint-Fosse-Louvain, est recensé comme messager avec sa femme Marie Ménard, née en 1884 à Châtillon, sans profession en 1906, Grande Rue.

En 1911, on retrouve le couple, Grande Rue, avec leur fils Joseph, né en 1908. Cette fois, Marie Ménard est recensée comme débitante.

En 1921, Marie Ménard est recensée avec ses deux enfants : Joseph, né en 1908 et Marie-Josèphe, née en 1911. Elle est alors mariée avec Louis Fourmond, né en 1884 à Colombiers. Les enfants sont recensés comme beau-fils et belle-fille de Louis Fourmond.

En 1926, Louis Fourmond, débitant, Marie Ménard, débitante, et Marie-Josèphe sont recensés Grande Rue.

En 1931, Louis Fourmond, débitant et sa belle fille Marie-Josephe, sont recensés Grande Rue.

En 1936, Joseph Fourmond, fils de Joseph Fourmond, débitant, et son épouse, Emilienne Legauffre, sont recensés Grande Rue.

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17 janvier 2021 7 17 /01 /janvier /2021 11:43

1975

 

Bilan après le District n° 2, p. 2

 

Sur les 207 personnes retenues,  45 sont originaires de Gorron. Sur ces 45, 21 s’inscrivent dans une lignée gorronnaise de plus d’une génération.

 

District n° 2 p. 3

 

Les personnes nées à Gorron :

Fernande Blanchetière née le 07/09/1949 ; Michel Chemin né le 27/04/1947

 

Sur 19 personnes, 2 sont nées à Gorron.

 

Nous ne retrouvons pas la lignée des Blanchetière qui nous intéresse.

Michel Chemin est le fils de René Chemin, bourrelier et de Marie-Louise Blin, recensés rue du Bignon en 1962.

René Chemin, né en 1913, est le fils de Jules Chemin, bourrelier, originaire de Mantilly et de  Hyacinthe Chemin, débitante, originaire de Saint-Berthevin la Tannière, recensés rue de Bretagne en 1921.

 

1ère génération

Michel Chemin

Peintre en bâtiment

Louisette Launay

Employée de banque

 

1975

2ème génération

René Chemin

Bourrelier

Marie Louise Blin

 

Rue du Bignon

1962

3ème génération

Jules Chemin

Bourrelier

Hyacinte

Débitante

Rue de Bretagne

1921

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17 janvier 2021 7 17 /01 /janvier /2021 11:39

Avant d’aborder les enseignants au 20ème siècle, nous revenons sur des enseignants pour lesquels il nous manque des éléments biographiques.

Jean-Baptiste Morice

 

Jean-Baptiste Morice a succédé à Ambroise Frixon à la tête de l’école communale de garçons. Il est né le 15 septembre 1840 à la Bazouge-de-Chémeré, petit bourg près de Vaiges à l’est de la Mayenne. Ses parents étaient bouchers. A trois ans, il est orphelin de mère. A dix ans, son père décède à son tour. On ne sait pas par qui et où il a été recueilli. Il se marie le 19 avril 1864, à vingt-trois ans, avec Flavie Bodère, marchande du même âge à Saint-Sulpice, dans la Mayenne Angevine, au sud du département. Jean-Baptiste Morice est alors instituteur à Saint-Aignan de Roë. Le couple habitera le bourg au sud-ouest du département où il eut une fille, Maria. On le retrouve  dans les listes de recensement de Gorron en 1876. Il a  un second enfant : Louis. Il a vraisemblablement connu, la construction du groupe scolaire, rue de Normandie mais sur les listes de recensement de 1881 et 1886, les écoles sont recensées à part et nous n’avons ni les élèves ni les enseignants nominativement.

 

               

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10 janvier 2021 7 10 /01 /janvier /2021 12:04
Cimetière…

Famille Fontaine

Paul FONTAINE

1899 – 1957

Et son épouse née

Juliette SIMON

1904 - 1989

 

Paul Fontaine est le fils de Paul Fontaine, carrossier, et d’Euphrasie Goussin. En 1936, le couple Paul Fontaine, Juliette Simon (elle-même fille de carrossier), carrossier, est recensé rue du Pré avec leur fils Paul né en 1929.

Paul Fontaine

1929 – 2013

Quant à Marc Fontaine, nous n’avons pas de précisions sur cet homme de 44 ans vraisemblablement perdu en mer.

Cimetière…
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10 janvier 2021 7 10 /01 /janvier /2021 12:01

1812

Juillet/Décembre

 

Juillet : décès (- d’1 an) : 5 ; mariages : 2 ; décès : 3 ; naissances : 7.

Août : mariages : 2 ; naissances : 3 ; décès : 2 ; décès (- d’1 an) : 1.

Septembre : mariages : 3 ; décès (- d’1 an) : 2 ; décès : 2 ; naissances : 3.

Octobre : mariages : 2 ; naissances : 6 ; décès : 2.

Novembre : décès : 5 ; naissances : 5 ; décès (- d’1 an) : 3 ; mariage : 1.

Décembre : mariages : 3 ; décès : 3 ; naissances : 4.

 

Métiers

Julien François : marchand  drapier ; Louis Morin, François Baudron, Pierre Normandière : charpentiers ; Guillaume Pennelet, Guillaume le Boullanger : voituriers ; René Bertré : cordonnier ; Jean Baudoin : menuisier ; Louis Jean Fleury : instituteur ; Jean Fournier, Louis Seigneur , Jean Fauveau : maçons ; François Poirier : sellier ; Jean Durand : tailleur ; René Foucher, François Cherot : meuniers ; François Cruchet, Julien Buchard : boulangers ; Guillaume Lhuissier : notaire ; Michel Buin : blanchisseur ; François Dreux : sabotier ; Michel Baillif : maréchal.

 

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10 janvier 2021 7 10 /01 /janvier /2021 11:57
Les débitants gorronnais…

 

Les familles ayant exercé le métier le plus longtemps  à Gorron.

 

35 ans : Hodebert/Betton, de 1896 à 1936.

 

En 1906, François Hodebert, sa femme Maria Betton, hôteliers, et leurs enfants : Louis (né en 1896) et Marcel (né en 1898) sont recensés rue Magenta. A l’époque, la rue Magenta allait jusqu’au Champ de Foire. L’hôtel (Hôtel de France) se situe au nord de la place du Général Barrabé actuelle où se situe la banque le Crédit Mutuel.

En 1921, le couple est recensé comme débitants avec deux enfants : Françoise née en 1905 et Renée née en 1914. Les deux garçons, Louis et Marcel, ont été tués pendant la Première guerre mondiale

Louis est tué à l’ennemi le 22 mai 1918 et son frère Marcel le 12 août 1918.

En 1936, on retrouve le couple seul, débitants, à la même adresse. Nous avons retrouvé la tombe de  Renée Hodebert, épouse de Georges Houée (voir la rubrique cimetière sur le blog).

Sur la première carte postale, l’homme devant l’hôtel de France est vraisemblablement François Hodebert. Sur la seconde il tient sur ses genoux une de ses filles (peut-être Renée ?).

Les débitants gorronnais…
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10 janvier 2021 7 10 /01 /janvier /2021 11:54

1975

District n° 2, p. 2

 

Georgette Lemonnier, femme de ménage, née à Gorron le 7 juin 1922. En 1936, elle est domestique. Elle est vraisemblablement la fille de Henri Lemonnier, journalier, et de Maria, son épouse, domestique, la Brimandière.

Henri Lemonnier est né à Gorron en 1889 et son épouse en 1890 selon le recensement de 1936. On retrouve le couple en 1921 au Grand Rousseau mais, cette fois, Henri Lemonnier serait né à Saint-Siméon. On ne retrouve pas Henri Lemonnier en 1906 à Gorron. Il est donc bien vraisemblablement né à Saint-Siméon. Nous n’avons pas retrouvé le nom de jeune fille de sa femme. Nous ne retiendrons pas cette lignée.

 

Ernest Crosnier, retraité, né à Gorron le 27 août 1908, recensé avec son épouse Renée Heuveline, originaire de L’Epinay-le-Comte, retraitée.

Ernest Crosnier est le fils de Jules Crosnier, originaire de Lesbois, cultivateur, et d’Albertine, son épouse, originaire de Le Pas, recensée à la Moulinière.

Nous ne retiendrons pas cette lignée.

 

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10 janvier 2021 7 10 /01 /janvier /2021 11:48

Avant d’aborder les enseignants au 20ème siècle, nous revenons sur des enseignants pour lesquels il nous manque des éléments biographiques.

Marie Gendron. En 1846, elle est recensée comme institutrice, Marché aux Veaux (haut de la rue des Sarrasins), à l’âge de 66 ans (?). En 1851, institutrice, elle vit seule et est célibataire, 50 ans (?), rue des Sarrasins. En 1856, elle ne semble plus être recensée à Gorron. En 1861, on la retrouve, institutrice, 65 ans, célibataire, rue des Sarrasins. En 1866, elle n’apparaît plus sur les listes de recensement. Ces élément soulignent les difficultés de la recherche locale quand on manque de sources. L’âge relevé en 1846 ne correspond pas aux autres âges précisés dans les recensements suivants. S’agit-il d’une erreur de transcription (ce qui arrive assez souvent) ou de deux personnes différentes ? Je retiens la première hypothèse. Elle pourrait avoir 46 ans en 1846. Je ne retrouve ni sa naissance, ni son décès à Gorron. On ne peut savoir, non plus, où elle enseignait, ni à quels élèves. 

 

Jeanne Nourry (ou Noury). En 1846, elle est recensée comme institutrice, célibataire, 52ans. Elle  habite avec son neveu Joseph Nourry, 10 ans et sa nièce Aimée, 7 ans, quartier des Fossés (vers la rue de la Fontaine Saint-Martin). En 1851, elle est recensée comme fileuse, 58 ans, célibataire, rue des Fossés. Elle habite avec sa nièce, Aimée Siméon, 12 ans, et une domestique Virginie Gaste, 25 ans. En 1856, elle ne semble plus recensée à Gorron. En 1861, on la retrouve comme institutrice, 69 ans, rue de Brecé. Il est précisé femme Pellerin, son mari est absent. Grâce à cette précision, je retrouve son acte de mariage. Elle est née le 26 mars 1792 à la Bigottière. Elle est fileuse lors de son mariage à Gorron avec René Le Pellerin, tisserand, le 13 mars 1813. Cette fois encore, des erreurs sont présentes sur les listes de recensement. En 1846 et en 1851 elle est recensée comme célibataire alors qu’elle est mariée depuis 1813. Quant à savoir où elle a enseigné, je ne peux l’affirmer .

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3 janvier 2021 7 03 /01 /janvier /2021 11:57
Cimetière…

FAMILLE DOUX

Il s’agit vraisemblablement de Jules Doux, horticulteur, né en 1882 à Gorron et de son épouse Henriette, institutrice en maternelle publique,  née en 1883 à Paris. Ils sont recensés rue Magenta en 1921 avec leur fils André. En 1936, la rue est nommée rue Corbeau-Paris.

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  • : Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
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Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par courriel à l'adresse suivante : jouvinjc@wanadoo.fr

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