A partir du recensement de la population gorronnaise de 1962 et une collection de reproduction de cartes postales anciennes j’essaie de retrouver les immeubles sur les cartes postales et leurs occupants en 1962
Recensement de 1962
Rue Magenta (côté pairs)
N° 4 : François Guerrier, chauffeur.
Sur la carte postale ancienne, il s’agissait du café Guerrier.
A partir des signataires des documents prérévolutionnaires ( Questionnaire de l’assemblée provinciales du Maine, Cahiers de doléance) j’essaie de retrouver des descendants gorronnais à ces signataires.
Familles influentes lors de la Révolution
Descendants famille Godeau (Jean Godeau/Jeanne Quentin)
Anne Godeau (67 ans), rue de Brecé. Elle serait la mère de Pierre Meslin, journalier.
Pierre Meslin et Anne Godeau Duval se sont mariés le 25/01/1797. Anne Godeau est originaire de Gorron. Elle est la fille de François Godeau, domestique, et Anne Galopin mariés le 8/05/1769.
François Godeau est le fils de Claude Godeau et de Anne Boulay mariés le 17/02/1744.
Claude Godeau est le fils de Jean Godeau et de Marguerite Brodin.
Il n’y a pas de lien familial direct avec Jean Godeau et Anne Quentin.
Depuis de nombreux mois, déjà, je me suis intéressé au cimetière de Gorron : les plus anciennes tombes, les différents modèles, les familles les plus anciennes, les tombes devant être relevées… Pour clore cette séquence, j’ai recensé les éléments personnalisant les défunts en dehors des inscriptions.
La jante d’une roue, la photo d’une moto… Le défunt était sans doute un adepte des sports mécaniques. Il a vraisemblablement été victime d’un accident de la route.
Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.
Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)
Rue de Bretagne
N° 40. Café Chemin (maison Monnier).
En 1921, nous retrouvons bien sur les listes de recensement : Hyacinthe Chemin, débitante, épouse de Jules Chemin, bourrelier, rue de Bretagne.
Sur les cartes postales anciennes, dans l’immeuble correspondant au magasin Monnier actuel, nous voyons l’enseigne : « Bertrand loge à pied et à cheval ». Le débit de boisson chemin pouvait se situer dans cet immeuble.
A partir du recensement de la population de 1975, en ne retenant que les adultes natifs de Gorron, j’essaie de retrouver les plus anciennes familles gorronnaises. On s’aperçoit assez vite que la population est sans doute beaucoup plus mobile qu’on ne pourrait le penser dans les siècles passés.
1975
Ménages collectifs – hospice de Gorron.
Victor Louveau né le 02/02/1914. Il est recensé comme beau-fils d’Alexandre Brault et de sa femme Marie en 1921, rue Jean-Jacques Garnier. Nous ne le retrouvons pas en 1936. Nous ne connaissons pas le nom de jeune fille de son épouse. Cette lignée ne sera pas retenue.
Germain Meslin né le 31/03/1881. Il est recensé en 1936 comme maçon, employé Raimbault, avec son épouse Germaine, piqueuse au chômage, rue du Maine. Il est le fils de Germain Meslin et de Mathilde Leblanc qui se sont mariés le 11/04/1880.
A suivre
Récapitulatif
Sur 663 personnes retenues, 137 sont originaires de Gorron. Sur ces 138, 47 s’inscrivent dans une lignée de plus d’une génération.
A partir du recensement de la population gorronnaise de 1962 et une collection de reproduction de cartes postales anciennes j’essaie de retrouver les immeubles sur les cartes postales et leurs occupants en 1962
Recensement de 1962
Rue Magenta (côté pairs)
N° 2. Rémy Romagné, commerçant – bonnetier, son épouse Suzanne Ravé et leurs enfants : Brigitte et Elisabeth.
A partir des signataires des documents prérévolutionnaires ( Questionnaire de l’assemblée provinciales du Maine, Cahiers de doléance) j’essaie de retrouver des descendants gorronnais à ces signataires.
Familles influentes lors de la Révolution
Descendants famille Godeau (Jean Godeau/Jeanne Quentin)
Marie Godeau (44 ans), épouse de François Dreux (48 ans), charpentier, rue de Brecé. Ils se sont mariés le 08/11/1820 à Gorron. Elle est la fille de Jean Godeau et de Louise Legros.
Jean Godeau est le fils de Richard Godeau et de Marie Forêt mariés en 1781.
Richard Godeau est le fils de Richard Godeau et de Michelle Dobaire mariés en 1757.
Il n’y a pas de lien familial direct avec Jean Godeau/Jeanne Quentin.
Depuis de nombreux mois, déjà, je me suis intéressé au cimetière de Gorron : les plus anciennes tombes, les différents modèles, les familles les plus anciennes, les tombes devant être relevées… Pour clore cette séquence, j’ai recensé les éléments personnalisant les défunts en dehors des inscriptions.
Nous voyons sur la plaque le dessin d’un camion. On peut donc penser que le défunt était chauffeur routier ou entrepreneur de transport. Son métier devait avoir une grande importance pour lui pour qu’il occupe cette place sur sa tombe.
Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.
Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)
Rue de Bretagne
N° 11. Café Huard (Clémentine)
En 1962, nous retrouvons bien Clémentine Huard et sa sœur Léontine, débitante. Sur les cartes postales anciennes, il y avait aussi un débitant à cet endroit en 1921. Il s’agissait de Carré Théodore et de son épouse Pascaline, débitante.
A partir du recensement de la population de 1975, en ne retenant que les adultes natifs de Gorron, j’essaie de retrouver les plus anciennes familles gorronnaises. On s’aperçoit assez vite que la population est sans doute beaucoup plus mobile qu’on ne pourrait le penser dans les siècles passés.
1975
Ménages collectifs – hospice de Gorron.
Lucienne Lemonnier-Penloup, née le 14/06/1893 à Gorron.
Sur l’acte de naissance de Lucienne Penloup, on apprend qu’elle s’est mariée le 8 juin 1914 avec Emile Lemonnier et qu’elle est décédée à Ernée le 31/03/1985.
Elle est la fille de Joseph Penloup, jardinier, et de Marie Cougé, débitante, place des Halles à Gorron. Ils se sont mariés le 13/01/1883 à Colombiers. Joseph est né à Hercé. Marie est née à Colombiers.
Cette lignée ne sera pas retenue.
Sur la carte postale ancienne ci-dessus, on voit le domicile du couple Joseph Penloup et Marie Cougé, place des Halles (place de la mairie actuelle) à Gorron.
Récapitulatif
Sur 658 personnes retenues, 136 sont originaires de Gorron. Sur ces 135, 47 s’inscrivent dans une lignée de plus d’une génération.
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Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
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