En 1861, Marie Corbeau/Briman, apparemment veuve, est recensée avec son fils François Briman (23 ans), La Brimandière.
En 1896 , il n’y a plus de Briman, cordier à Gorron.
Penloup
En 1906, Louis Penloup, cordier, originaire de Saint-Aubin-Fosse-Louvain, son épouse, Marie Charlot et leur fils Louis Penloup (né en 1904), sont recensés Grande Rue.
En 1921, on retrouve la famille, Grande Rue avec une fille en plus : Marie-Louise, née en 1907.
C’est sous le Maréchal Pétain que cette fête est devenue importante et généralisée en France. A Gorron, une messe réunissait la majorité des autorités civiles et religieuses. Monsieur le chanoine Chaudet, curé-doyen de Gorron, prit la parole dans une belle allocution. A la mairie, M. le Maire prit la parole pour exalter à son tour, au nom du Maréchal, la mère et la famille française. (…) les enfants chantèrent enfin l’hymne au Maréchal.
Cet article nous donne une idée du poids de l’Etat Français et à sa tête du Maréchal Pétain, collaborateur, sur la population française.
22 juillet 1942 : solidarité spontanée ( ?)
Des fermiers ont offert des volailles et des lapins pour soulager la misère de nombreuses familles de militaires victime de la guerre… après avoir reçu la visite de la brigade solidarité du service social de l’armée.
Décidément, les écrivains, les penseurs en général, semblent déranger le Roi. Leurs idées remettent souvent en cause la royauté et son pouvoir sans contrôle. Diderot a été emprisonné à Vincennes. La peine n’est ni longue ni sévère. Il peut recevoir des visiteurs, et au bout de quelques semaines, il est libéré. Il n’empêche que les différentes publications sont étroitement surveillées.
Je suis en train d’essayer de lire certains écrits de Voltaire. Il est plutôt à la mode en ce moment. Mais ceux qui le connaissent bien, évoque sa compagne, Emilie du Châtelet qui mériterait d’être mise plus en avant. Ma mère aurait sans doute aimé cette femme remarquable : femme de lettres, physicienne, mathématicienne… mais, malheureusement, femme, donc moins considérée que l’homme en général.
On parle beaucoup plus de Mme de Pompadour, maîtresse du Roi à qui il a fait construire le Petit Trianon dans le parc du château de Versailles. Souvent en mal, à travers des pamphlets injurieux, les « poissonnades » du nom de la favorite : Jeanne Antoinette Poisson. On ne lui pardonne pas son ascension, les retentissantes couleurs qui parsèment ses toilettes, et l’audace de ses chairs joyeuses.
J’ai vu et entendu plusieurs fois cet auteur à la télévision. Essentiellement poétique, son œuvre me paraissait peu accessible. Le thème de son dernier ouvrage : la rencontre de l’abbatiale de Conques du 11e siècle et le retour sur cet événement, seul dans « sa forêt du Creusot », ne pouvait que me séduire.
J’ai donc franchi le pas malgré quelques réticences en matière de poésie. Comme je le craignais un peu, si l’écriture impressionne, si la tentative d’établir un contact direct avec la beauté du monde au-delà de l’intellect m’a séduit, le texte, parfois obscur, m’a empêché d’entrer pleinement dans l’ouvrage. D’où une certaine déception.
La famille Fanneau, bouchers, a été plusieurs fois évoquée sur le blog (voir article 03 septembre 2016). L’inscription correspond vraisemblablement à Léon Fanneau (né en 1900 à Gorron) et son épouse Emilie Fanneau/Herbert (née en 1901 à Villechien) , bouchers, rue de la Mairie à Gorron.
Joseph Labbé, épicier, né en 1880 à Ernée, Marie Lepéculier, son épouse, née à Colombiers en 1880, rue du Bignon. Ils se sont mariés le 26 septembre 1904 à Saint-Denis-De-Gastines. Joseph était alors domestique et habitait à Gorron. Ils se sont vraisemblablement installés comme épiciers à la suite de ce mariage.
1911
Marie Lepéculier est recensée comme épicière, son époux Joseph Labbé est recensé comme patron jardinier. Ils ont un fils, Joseph né à Gorron en 1908. Rue du Bignon
1921
Joseph Labbé est à nouveau recensé comme épicier, Marie Lepéculier comme sans profession. Ils ont un deuxième garçon : René né en 1911. Rue du Bignon
Pierre Bouillon, tisserand, fils de Jean Bouillon et de Perrine Godeau épouse Renée Barbot, fille de Noël Barbot et de Renée Ernault, le 01 février 1798 (13 pluviôse an VI) à Gorron.
Pierre Bouillon, charpentier, fils de Pierre Bouillon, charpentier, et de Renée Barbot, né le 5 brumaire an VIII à Gorron, épouse Michelle Poirier, le 19 novembre 1821, à Gorron.
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Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par
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