Le titre du prochain roman sera vraisemblablement : « Un soldat sans qualités ».
Le personnage principal sera un soldat gorronnais pris dans la débâcle de mai 1940 qui tentera de survivre pendant l’Occupation.
Les maquis pendant la Seconde Guerre mondiale
En fin 1942 et début 1943, des résistants à l’occupation nazie se regroupent pour combattre l’occupant les armes à la main. Généralement, ils établissent des campements permanents dans des forêts. Parmi eux, on retrouve des réfractaires au Service du Travail Obligatoire.
Ces maquis doivent être ravitaillés en nourriture et en armes. La nourriture, on se la procure dans les fermes avoisinantes ; les armes sont prises aux Allemands puis, plus tard, parachutées en provenance de la Grande Bretagne qui, avec les Alliés, continue la guerre contre les Nazis.
Les résistants sont présentés comme des terroristes, des criminels, par l’Etat français de Pétain et sont pourchassés, notamment par la milice et la police françaises. Sans compter l’armée allemande qui lancent parfois de grandes attaques.
Il pouvait arriver que certains maquisards se laissent aller à des réquisitions plus ou moins bien acceptées. Dans le roman, un de ceux-là se conduit comme un véritable bandit et est chassé de son maquis.