La rue Jean-Jacques Garnier en 1906.
Contrairement à ce que nous espérions, il ne reste pratiquement plus, en 1906, de familles présentes en 1936. Tout juste pouvons-nous faire les hypothèses suivantes :
François Pottier (maréchal) et sa femme Marie Beaugé (SP), pourraient habiter au n° 52 ou au n° 55 de la rue.
Renée Bouillon (veuve Ducoin), fileuse, pourrait habiter au n° 21.
Si nous reprenons les informations recueillies dans nos recherches sur les immeubles du 19ème siècle, nous pouvons rajouter :
Léandre Millet (apiculteur) et sa mère, Claire Lesaint, habitent au n° 33.
Au total, la méthode consistant à partir des immeubles numérotés en 1962 pour repérer d’une manière certaine certains immeubles et leurs occupants en 1906 n’est guère fructueuse dans cette rue (au total 3 immeubles). Ce qui nous montre que les maisons changeaient relativement souvent de locataires.
Nous allons poursuivre l’étude à partir des artisans ou commerçants recensés rue Jean-Jacques Garnier en espérant pouvoir les situer par rapport aux immeubles occupés.
A suivre…