La Duranderie, la Durandière (vraisemblablement la Durandais) relevait aussi du fief du Boisbrault.
1846 :
Charles Poisson, laboureur, et Marie Montécot.
Michel Lesage, maçon, veuf.
Julien Lesage, maçon, et Marie Daligault.
Jacques Prel, tisserand, et Rose Boittin.
Rose Boittin habite à la Durandais au moins pendant 45 ans (1846/1891). En 1891, elle a 92 ans et son prénom est noté Rosalie. Veuve de Jacques Prel, tisserand, elle est recensée comme propriétaire en 1876.
En 1906, il n’y a pas de cultivateur à la Durandais. Marie Boittin (parente avec Rose ?) veuve de Jean Delangle, cultivateur en 1896, est recensée sans profession.
1906 :
Mélanie Gourdelier, sans profession.
Marie Boittin, sans profession.
Jean Durand, journalier, et Clémentine Doré.
Modeste Delangle, sans profession