Pierre François Rotureau : greffier ; François Péan Dugué : notaire et administrateur du district d’Ernée. François Péan Launay : procureur ; Mathurin Chalot : fileur de laine
Quatrième vidéo correspondant à une épicerie tenue par la famille Goussin/Belliard. La mère, Marie Goussin, veuve Belliard, puis la fille, Marie Belliard ont tenu cette épicerie pendant plus de trente ans rue Jean-Jacques Garnier. On les retrouve dans les recensements de la population gorronnaise de 1906 à 1936.
La vidéo filme la partie haute de la rue Jean-Jacques Garnier, de la rue de la Montée à la place du Général Barrabé. Cette partie s’appelait, autrefois, la rue des Palmes.
Sur 8 personnes, deux sont originaires de Gorron : Rémi Romagné et Jacqueline Chénel.
Nous retiendrons pour cette synthèse les lignées gorronnaise composées au moins de deux générations. Y figureront la date du recensement, la profession, l’adresse.
Nous avons déjà croisé la famille Romagné.
1ère génération (1975) : Rémi Romagné (Gorron), mercier - bonnetier /Suzanne Ravé (Ambrières), Place du Général Barrabé.
2ème génération (1921) : Ernest Romagné (Gorron), cordonnier/Marguerite (Gorron), mercière, rue Magenta.
3ème génération (1906) : Ernest Romagné (Gorron) cordonnier /Marie Millet (Gorron), couturière., rue Magenta
18e siècle : Jean Lesage, Jean Quentin, Jean Bazeille, Jean Morin, Jean Baptiste Gesteau.
19e siècle : 1846 : Pierre Guihéry, René Brault, Joseph Lesaulnier. 1861 : Mathurin Chalot, Arsène Berson, Amand Brault, Pierre Monnier, Mathurin Blanchetière, Julien Grangeré.
20e siècle : 1906 : Pierre Legros (marchand de laine).
La profession de lainier (marchand de laine ou ouvrier en laine) disparaît au 20e siècle. Dans la profession de lainier au 18e et au 19e siècles, il peut y avoir des tisserands.
Nous nous intéresserons aux deux patronymes identiques : René et Amant Brault au 19e siècle
Bien qu’il n’y ait aucune inscription spécifique, il s’agit vraisemblablement d’Auguste Poirier, originaire de Landivy et de sa femme Augustine Poirier (Daguier). Ainsi que Joseph Monnier et sa femme Augustine Monnier (Poirier).
La plaque : Le personnel des Ets Monnier correspond aux employés de cette entreprise de fabrique de meubles dont nous avons souvent parlé dans le blog (voir par exemple l’article du 29 septembre 2013).
Au 19e siècle, nous avons retenu le patronyme Fleury. Au 20e le patronyme Daniel.
En ce qui concerne la famille Daniel, deux générations de médecins, elles ont déjà été suivies sur le blog.
En ce qui concerne le patronyme Fleury, nous n’avons pas trouvé de lien familial.
Ainsi se termine cette série d’articles qui s’est intéressé aux familles ayant habité la même rue pendant de très longues années.
1975
Nous engageons maintenant une nouvelle série d’articles à partir du recensement de 1975. L’objectif étant de recenser les personnes d’origine gorronnaise présentes dans ce recensement puis de tenter de retrouver ces personnes dans les recensements en remontant vers le début du 20e siècle. L’objectif étant de repérer des lignées couvrant plusieurs générations. Cette nouvelle recherche s’inscrit dans l’étude de la population gorronnaise en espérant faire le lien avec la synthèse en cours portant sur les lignées les plus anciennes (voir articles : population synthèse).
Nous ne retiendrons que les parents des familles concernées.
Place du Général Barrabé (côté nord)
Sur 8 personnes, deux sont originaires de Gorron : Rémi Romagné et Jacqueline Chénel.
On les retrouve dans des articles du blog.
A suivre dans la rubrique « population synthèse » à partir de la semaine prochaine.
Louis Le Blanc, Jacques Viel : maçons ; Louis Richard : garçon charpentier, Jacques Buin : charpentier ; Charles Quinton : journalier ; Marie Galopin : sage-femme ; François Clément Fleury : avocat.
Troisième vidéo correspondant à l’emplacement d’une épicerie ancienne. On peut faire état de la présence d’un épicerie (aussi marchand de laine) dès 1886 : elle est tenue par le couple Pierre Legros/Marie Lemonnier. De 1881 à 1921 nous retrouvons la famille Legros/Lemonnier, 45 rue de Bretagne. En 1962, c’est France Morin qui tient l’épicerie. La plupart des objets de l’exposition viennent de cette épicerie.
La vidéo filme le bas de la rue de Bretagne (au niveau du Pont de Hercé) du croisement entre la direction vers Ernée et la direction vers Fougères jusqu’au croisement rue de Bretagne/boulevard Ledauphin-Blinière. Elle s’arrête par deux fois sur l’emplacement de l’épicerie.
Notre recherche qui consistait à partir des plus anciens actes de mariages à Gorron à remonter jusqu’à la fin du 19e siècle s’arrête ici. Nous avons abouti à ce tableau récapitulatif. Nous engageons une autre recherche en partant cette fois de 1975 en espérant pouvoir retrouver quelques lignées se rapportant à ces lignées anciennes. A partir de la semaine prochaine, la rubrique « Un siècle d’histoire » rejoindra cette rubrique « population synthèse ».
20e siècle : 1906 : Joseph Penloup, François Doux, Eugène Benoît, Romain Lemercier, Michel Fougeray, Victor Doré, Firmin Courtin, Julien Montembault ; 1936 : Louis Robichon, Albert Delangle, Joseph Cerisier.
Mis à part Jean Sénéchal et Romain Sénéchal, au 18e siècle, nous ne retrouvons pas de familles de jardiniers à Gorron sur plusieurs générations.
Nous retrouvons Jean Baptiste Sénéchal, jardinier, qui se marie le 2 octobre 1820 avec Marie Julienne Girard, à Gorron.
Romain Sénéchal, jardinier, est le fils du couple précédent. Il se marie le 26 juin 1759 à Gorron avec Nathalie Marie Valette, ouvrière en linge.
:
Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par
courriel à l'adresse suivante : jouvinjc@wanadoo.fr