Mandrin
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Mandrin est un contrebandier qui commerce de manière illicite des denrées comme le tabac, des objets comme les horloges et des tissus, entre la France et la Suisse. Il devient assez vite le chef d’un groupe important s’attaquant aux fermiers généraux chargés de prélever les impôts. Il est présenté par le pouvoir comme un bandit de grand chemin alors qu’il est soutenu par une partie de la population.
Sa réputation s’étendant, le pouvoir ne peut le supporter et mobilise des troupes pour son arrestation. Il est ensuite jugé et condamné à mort. Il sera roué (les membres brisés à coup de barre de fer) en place publique devant une foule importante venant assister au supplice.
Très vite la légende se constitue. Le courage qu’il aurait montré lors du supplice et l’image du bandit au grand cœur qui ne s’attaquait qu’aux puissants. Cette légende parcourut tout le pays. Dans le roman, elle est racontée à la veillée par les membres de la famille D.