Mendiants et vagabonds au 18ème siècle en France
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Une partie de la population pouvait tomber dans la misère et se retrouver sans ressources et sans toit : des paysans ruinés, des journalier sans emploi, d’anciens soldats, des orphelins ou des veuves…
Ces personnes dans la misère restaient dans leur « pays » ou se déplaçaient dans tout le royaume. Généralement, ils étaient considérés comme dangereux capables de voler ou d’agresser pour trouver leur subsistance.
La pouvoir essayait de les recenser et de les enfermer pour les empêcher de nuire. En 1722, une décision est prise de les arrêter et de les mettre au travail plutôt que de tenter de les aider, de les secourir.
Dans le roman, un mendiant connu dans la ville, disparaitra au désespoir des personnes qui l’aidaient à vivre grâce à des aumônes diverses.