Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.
Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)
Rue Corbeau-Paris
N° 26. Café Leblanc (recette buraliste). En 1936, sur les listes de recensement, nous retrouvons Louis Leblanc, buraliste, et sa femme, Marie, rue Corbeau-Paris.
A partir des signataires des documents prérévolutionnaires ( Questionnaire de l’assemblée provinciales du Maine, Cahiers de doléances) j’essaie de retrouver des descendants gorronnais à ces signataires.
Familles influentes lors de la Révolution
Descendants famille Grangeré
Jean Grangeré, laboureur ( vraisemblablement) marié à Julienne Seigneur, fils de Jean Grangeré et de Julienne Quentin.
Rappel : deux lignées ont été retenues
1ère Lignée : Jean Grangeré/Julienne Quentin › Jean Grangeré/Julienne Seigneur › Pierre Grangeré/Marie Travigné › Pierre Grangeré/Marie Jambin…
2ème lignée : Jean Grangeré/Julienne Quentin › Louis Grangeré/Jeanne Berrier
En 1906, nous retrouvons : Valentin Grangeré, né en 1854 à Gorron et Louis Grangeré, né en 1846 à Gorron. Ont-ils un lien avec une de ces lignées ?
Valentin Grangeré, agriculteur, Saint-Etienne. Nous avons déjà vu ce Valentin Grangeré sur le blog. Il est le fils de René Grangeré et de Mélanie Goupil. René Grangeré est le fils de Richard Grangeré et de Louise Galloin. Il ne semble pas avoir de lien direct avec une des lignées.
Louis Grangeré, cultivateur, la Pommerais. Il est le fils de Louis Grangeré et d’Hortense Dumaine mariés le 21/04/1845. Louis Grangeré est le fils de René Grangeré et de Louise Jéhan. Il ne semble pas avoir de lien direct avec une des lignées.
A partir du recensement de la population de 1975, en ne retenant que les adultes natifs de Gorron, j’essaie de retrouver les plus anciennes familles gorronnaises. On s’aperçoit assez vite que la population est sans doute beaucoup plus mobile qu’on ne pourrait le penser dans les siècles passés.
1975
Ménages collectifs – hospice de Gorron.
Louis Penloup né le 05/07/04.
Récapitulatif
2 générations
Chénel ; Laurier
Bouchers
Manceau ; Trolet
Plombier – charpentier
Couturière
Houée ; Hodebert
Marchands de bestiaux
Lhuissier ; Fourmond ; Fouqué
Cultivateurs - charcutier
Guerrier ; Besnier
Plombier/chauffagiste - maçon
Foucoin
Sabotier - tisserand
Gayet ; Gayet
Garagistes
Lévêque
Menuisiers
Bertrand
Charpentier
Letissier
Manutentionnaire – ouvrier en chaussures
Arnoult/Durand
Meuniers
Penloup
Cordiers
Récapitulatif
Sur 671 personnes retenues, 140 sont originaires de Gorron. Sur ces 140, 50 s’inscrivent dans une lignée de plus d’une génération.
A suivre : Marie Quinton née le 16/12/1904 à Gorron.
A partir du recensement de la population gorronnaise de 1962 et une collection de reproduction de cartes postales anciennes j’essaie de retrouver les immeubles sur les cartes postales et leurs occupants en 1962
Recensement de 1962
Rue et place de la Houssaye
N° 8. René Meslin, ouvrier d’usine et son épouse Gisèle Fournier, ouvrière d’usine.
Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.
Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)
Rue Corbeau-Paris
N° 9 et N° 12 : café Bordelet (avec un déplacement).
Nous avons déjà vu la famille Bordelet sur le blog. En 1926, notamment, Alphonse Bordelet et Marie Delaunay sont recensés comme cabaretiers, rue Corbeau-Paris. Le couple a changé plusieurs fois de professions : charcutier, entrepreneur de transport, taxi…
A partir des signataires des documents prérévolutionnaires ( Questionnaire de l’assemblée provinciales du Maine, Cahiers de doléances) j’essaie de retrouver des descendants gorronnais à ces signataires.
Familles influentes lors de la Révolution
Descendants famille Grangeré
Jean Grangeré, laboureur ( vraisemblablement) marié à Julienne Seigneur, fils de Jean Grangeré et de Julienne Quentin.
1846
Jean Grangeré, 37 ans, laboureur au Colombier, marié à Louise Lecrosnier le 13/11/1838 à Gorron.
Jean Grangeré, laboureur, né à Gorron le 25 mars 1808 est le fils de Jean Grangeré et de Marie Coutard. Louise Lecrosnier (Crosnier) est originaire de Lesbois.
Jean Grangeré et Marie Coutard sont recensés en 1846 au Colombiers. Nous ne retrouvons pas la date de leur mariage.
Cette lignée ne semble pas avoir de lien direct avec Jean Grangeré et Julienne Quentin.
A partir du recensement de la population de 1975, en ne retenant que les adultes natifs de Gorron, j’essaie de retrouver les plus anciennes familles gorronnaises. On s’aperçoit assez vite que la population est sans doute beaucoup plus mobile qu’on ne pourrait le penser dans les siècles passés.
1975
Ménages collectifs – hospice de Gorron.
Louis Penloup né le 05/07/04.
1ère génération
Louis Penloup
Cordier
Hélène
Rue Corbeau-Paris
1936
2ème génération
Louis Penloup
Cordier
Maria Charlot
Cultivatrice
Rue Corbeau-Paris
1921
3ème génération
Louis Charlot
Cultivateur
Jeanne Quentin
Cultivatrice
1871
Louis Penloup et Marie Charlot se sont mariés le 19/10/1902 à Gorron. Marie Charlot, cultivatrice, née à Gorron le 15/09/1877, est la fille d’Amant Charlot, cultivateur et de Florence Fouilleul.
Amand Charlot et Florence Fouilleul se sont mariés le 23/11/1871 à Saint-Aubin-Fosse-Louvain. Amand Charlot est le fils de Louis Charlot, cultivateur et de Jeanne Quentin mariés le 17/07/1828 à Saint-Aubin -Fosse-Louvain. Louis est natif de Colmbiers et Jeanne de Saint-Aubin.
A partir du recensement de la population gorronnaise de 1962 et une collection de reproduction de cartes postales anciennes j’essaie de retrouver les immeubles sur les cartes postales et leurs occupants en 1962
Recensement de 1962
Rue et place de la Houssaye
N° 6. André Lepauvre, représentant de commerce, son épouse, Cécile Rousseau et leurs enfants : Monique et Christian.
Depuis de nombreux mois, déjà, je me suis intéressé au cimetière de Gorron : les plus anciennes tombes, les différents modèles, les familles les plus anciennes, les tombes devant être relevées… Pour clore cette séquence, j’ai recensé les éléments personnalisant les défunts en dehors des inscriptions.
Une guitare, une moto… Malheureusement, on doit avoir affaire à un défunt relativement jeune, même si on peut aimer la guitare et le vélo à tout âge.
Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.
Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)
Rue Corbeau-Paris
N°1. Café Rossignol.
En 1906, on retrouve Aimable Rossignol (né en 1842 à Gorron), débitant, son épouse, Maria Castel, et leur fille Maria (née en 1873 à Gorron), recensés rue de Normandie, ce qui peut correspondre à cet établissement à l’angle de la rue de Normandie et de la rue Magenta à l’époque (devenue en partie rue Corbeau-Paris par la suite).
En 1921, Maria Rossignol est recensée comme épicière avec sa mère, sans profession, rue Corbeau-Paris.
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Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
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