A partir du recensement de la population gorronnaise de 1962 et une collection de reproduction de cartes postales anciennes j’essaie de retrouver les immeubles sur les cartes postales et leurs occupants en 1962
Recensement de 1962
Rue et place de la Houssaye
N° 15 : Roland Guaine, contrôleur laitier et son épouse, Nicole Gilard, couturière.
Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.
Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)
Place du Général Barrabé (anciennement des Quatre Piliers)
A partir des signataires des documents prérévolutionnaires ( Questionnaire de l’assemblée provinciales du Maine, Cahiers de doléances) j’essaie de retrouver des descendants gorronnais à ces signataires.
Familles influentes lors de la Révolution
François Rousseau marié à Marie Ruault. François est le fils de Joseph Rousseau et Jeanne Lecour.
En 1846, nous trouvons Atalie Rousseau (rue Royale), Zoé Rousseau (place au Blé), Louise Rousseau (quartier de la Mairie), Louise Rousseau (quartier de la Mairie), Hyppolite Rousseau (quartier des Halles), propriétaires.
Dans ce premier temps nous suivrons ces personnes.
Rousseau Atalie : 42 ans. Né le 22/07/1804 (3 thermidor an 12). Fils d’Augustin Rousseau et d’Anne Lefaux.
A partir du recensement de la population de 1975, en ne retenant que les adultes natifs de Gorron, j’essaie de retrouver les plus anciennes familles gorronnaises. On s’aperçoit assez vite que la population est sans doute beaucoup plus mobile qu’on ne pourrait le penser dans les siècles passés.
1975
Rue du Maine
Madeleine Fougères, née le 04/04/1931, employée aux écritures, épouse de Louis Letourneur, tôlier, rue du Maine.
Madeleine Fougères est la fille de Marcel Fougères et de son épouse Madeleine née en 1904 à Gorron, cultivateurs à la Chennerie. Je n’ai pas retrouvé le nom de Madeleine.
Léonie Guesdon/Chérel, 19/09/1893, rue du Maine. Léonie est la fille de Pierre Chérel, cultivateur à la Grande Jeunière et de Thérèse Guesdon.
A partir du recensement de la population gorronnaise de 1962 et une collection de reproduction de cartes postales anciennes j’essaie de retrouver les immeubles sur les cartes postales et leurs occupants en 1962
Recensement de 1962
Rue et place de la Houssaye
N° 13 : Henri Danjou, chauffeur, et son épouse Marie Fardin, débitante.
A partir des signataires des documents prérévolutionnaires ( Questionnaire de l’assemblée provinciales du Maine, Cahiers de doléances) j’essaie de retrouver des descendants gorronnais à ces signataires.
Familles influentes lors de la Révolution
Descendants famille Rotureau
François Rotureau, mari de Jeanne Faverie, fils de Pierre Rotureau et de Marguerite Leboulanger.
Récapitulatif :
Gabrielle Rotureau/Pierre Coulange › Michel Coulange/Hortense Rotureau
Pierre Rotureau/Marguerite Le boulanger
François Rotureau/Jeanne Faverie › Adèle Rotureau/Louis Olivret
En 1906, on ne retrouve aucun des patronymes : Rotureau, Coulange,Olivret sur les listes de recensement.
A suivre : François Rousseau marié à Marie Ruault.
L’objectif est de recenser les domestiques (hors agriculture), de connaître les familles qui les emploient. Dans la mesure du possible, essayer de repérer leur lieu de naissance, leur origine sociale et la durée de l’exercice dans la fonction.
Année 1846
Récapitulatif
Sur 1634 habitants en agglomération, on compte 41 domestiques.
Les employeurs de domestiques sont majoritairement des « propriétaires » qualifiés comme tels dans les listes de recensement. Il s’agit des familles qui vivent des revenus de leurs propriétés. Le plus souvent dans la campagne gorronnaise de fermes louées aux laboureur (fermage, métayage…). On enregistre 14 familles de propriétaires en 1846.
Les débitants de boisson et autres aubergistes, emploient aussi un certain nombre de domestiques (en l’occurrence : 5) ainsi que des fonctionnaires (receveur, employé des contributions directes : 3) et des meuniers (2).
Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.
Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)
Place du Général Barrabé (anciennement des Quatre Piliers)
A partir du recensement de la population gorronnaise de 1962 et une collection de reproduction de cartes postales anciennes j’essaie de retrouver les immeubles sur les cartes postales et leurs occupants en 1962
Recensement de 1962
Rue et place de la Houssaye
N° 12 bis : Amédé Huvé, magasinier, son épouse Anna Guérin et leurs enfants : René, Marie-Anne.
L’objectif est de recenser les domestiques (hors agriculture), de connaître les familles qui les emploient. Dans la mesure du possible, essayer de repérer leur lieu de naissance, leur origine sociale et la durée de l’exercice dans la fonction.
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Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
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