Vacances mobiles pour 1923/1924. A la demande des enseignants, le Conseil accorde 5 jours de congé à Noël et 1 journée à la Pentecôte.
Cours de solfège et musique. Des cours gratuits seront donnés afin de réorganiser la société de musique. Ils seront assurés par Mr Bar, instituteur adjoint. Ils auront lieu dans la salle des fêtes (groupe scolaire de garçons, rue de Normandie) de 20h à 21h deux fois par semaine.
Installation de lampes. Une pétition d’habitants du quartier du Pont d’Hercé demande l’installation d’une lampe au carrefour des routes de Colombiers, de Hercé et de Gorron. Cette lampe éclairera l’entrée de la ville et le passage à niveau des chemins de fer départementaux de la route de Colombiers.
Les abbayes accueillaient des personnes, parfois illustres, comme des rois Saint Louis le 21 avril 1256. Il couche au monastère et mange au réfectoire avec les moines. La maison des hôtes avait 52,80 m de long avec une grande salle de compagnie, salle à manger, 9 lits de maîtres et 4 de domestiques. Dans cette maison, on trouve aussi les appartements du Prieur.
Le cloître
Un lieu de détente ou de prière dans lequel les moines peuvent déambuler sous les arcades entourant un jardin. Au centre de ce jardin, souvent, un bassin ou une fontaine. Un plan carré de 40 m de côté avec 29 piliers de 2, 75 m de hauteur à Savigny.
Je viens de m’abonner au magazine l’Illustration. En plus des articles sur l’actualité, on y trouve de nombreuses illustrations sous la forme de dessins, de gravures, de reproduction de daguerréotypes… Ce qui rend plus accessibles à tous, les informations sur la marche du monde.
Beaucoup se réjouissent de la conquête de l’Algérie. Comme si on oubliait que ce pays était déjà occupé par ce qu’on appelle les indigènes. On confisque de plus en plus de terre. On doit lutter contre des révoltes qui me paraissent justifiées. Un chef indigène, Abdel Kader a été battu et obligé de se réfugier dans un autre pays.
Une bien triste nouvelle pour les lecteurs du grand Victor Hugo. Sa fille chérie, Léopoldine, est morte noyée dans une boucle de la Seine alors qu’elle se déplaçait sur un bateau, près de sa maison.
J’ai eu envie de me replonger dans la chouannerie à partir d’un ouvrage historique dont je reparlerai. En parallèle, j’ai relu le roman de Balzac. Je ne permettrais pas d’émettre des réserves sur le génial romancier du 19e siècle. J’évoquerai plutôt mes propres faiblesses de lecteur. Mais j’ai retrouvé des moments de lassitude, voire d’irritation au cours de cette seconde lecture.
La description de la topographie de Fougères, par exemple. Connaissant un peu la ville, les longues descriptions de l’auteur m’ont plutôt embrouillé. A force de détails la représentation générale est difficile. La relation entre le chef chouan et Melle de Verneuil, avec ces revirements incessants, m’a paru bien artificielle. Certains épisodes de l’action, plutôt invraisemblables. Bilan global, une vraie déception.
Il s’agit d’Angèle Naveau, fille de Joseph (mécanicien) et de Marguerite Naveau, recensés rue de Bretagne en 1936. René Delsart est comptable et Angèle employée des PetT, recensés en 1962, rue du Bignon avec leur fils Max.
En 1861, Julien Lemonnier, tailleur d’habits, 48 ans, son épouse Rosalie Delière, 46 ans, recensés en 1861, rue du Coq.
Ils se sont mariés le 03/02/1840 à Gorron. Julien, né le 23 février 1909 à Gorron, est le fils de Jean Le Monnier, tailleur d’habits, et de Julienne Guihéry.
Jean Le Monnier, tailleur d’habits et Julienne Guihéry se sont mariés le 05/01/1804 (14 nivôse an 12) à Gorron. Jean est le fils de Jean Le Monnier, tailleur d’habits, et de Michèle Husson.
En 1861, Pauline Guérin, veuve Lemonnier, tailleur d’habits, 52 ans, recensée avec sa fille Pauline, rue de la Mairie.
Constant Gendron, époux de sa cousine, Ernestine Gendron, est le fils de Pierre (ou Joseph ) Gendron et de Jeanne Fontaine.
Pierre (ou Joseph) Gendron est le fils de Pierre Gendron et de Joséphine Lepourreau.
Récapitulatif partiel : 4 générations
4 générations
Bouillon
Ebéniste – tailleur de pierre - charpentiers
Gendron
Comptable - Négociant en salaison - tanneurs
Marie-Louise Pottier/Gendron (née le 05/08/1903) elle aussi recensée en 1975 rue de Bretagne, née en 1903, est la sœur de Pascal Gendron. Sa fille Jeanne Pottier, recensée comme secrétaire avec sa mère en 1975, s’inscrit donc dans un lignée de 5 générations.
Legs Corbeau. Madame Paris, veuve Corbeau, lègue une ferme à l’hopice : la Chorie située sur la commune de Saint-Siméon.
Assistance médicale gratuite. Melle Lochu sera admise gratuitement dans un sanatorium. La Sécurité Sociale n’étant pas encore en fonction, les aides étaient décidées individuellement. L’aide apportée aux femmes en couches est examinée en fonction des ressources de la famille.
Indemnité de logement des instituteurs. Les instituteurs non logés dans les bâtiments communaux ont droit à une indemnité de 150 f.
Eclairage de la ville. L’électricité nécessaire à l’éclairage de la ville est achetée à Monsieur Henri Mareine, administrateur du secteur (turbine hydro-électrique) rue Jean-Jacques Garnier.
Boîte aux lettres à la gare. Une boîte aux lettres mobile est installée à la gare en 1923.
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Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par
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