Clémence Bouillon/Lair née le 17/11/1902 ; René Lucas, né le 12/11/1923 ; Marie Fourmond/Forêt née le 28/02/1903 ; Maurice Chemin, né le 20/10/1906 ; Germaine Oger/Chemin, née le 01/11/1908 ; René Chemin, né le 18/08/1913.
Clémence Bouillon/Lair, née le 17/11/1902, retraitée. Elle est recensée avec sa mère, Hortense Aubert, couturière, rue du Bignon en 1906. Hortense s’est mariée le 08/01/1898 avec Constant Bouillon à Gorron. Constant Bouillon est originaire de Colombiers. Hortense Aubert de Saint-Mars-sur-Colmont. Cette lignée ne sera pas retenue dans la recherche.
Réné Lucas, né à Gorron le 12/11/1923 est le fils de René Lucas et d’Emilienne originaires de Fougerolles. Cette lignée ne sera pas retenue dans la recherche.
Sur la ligne Landivy Mayenne, le train effectuait quatre voyages (deux fois aller/retour) par jour : 6h 30 - 10h 30 et 13h 30 – 16h 30. Les voyageurs payaient 2 sous pour aller de Gorron à Brecé et 25 sous pour aller à Mayenne. Quatre wagons étaient réservés aux voyageurs.
Le train transportait aussi des marchandises : granit, monuments, pierres et graviers des carrières. En 1947, il assurait encore trois trajets Gorron/Mayenne.
Le curé Chaudet (dont nous avons souvent parlé sur le blog ) a écrit une chanson sur le petit train sur l’air de « Il court, il court le furet ».
Le début du chant :
Il est gentil, il est coquet, De vert, de noir, peinturluré,
Quelques souvenirs : La bénédiction de l’Ecole Saint-Michel
Après la création d’une Association Amicale d’Anciens Elèves de l’Ecole Saint-Michel, le bulletin paroissial revient sur la création de l’école privée confessionnelle de garçons à Gorron. A l’époque, le bulletin paroissial s’appelait « l’Echo Paroissial de Gorron et du doyenné », dont le curé Jacob était rédacteur en chef.
L’école est ouverte en novembre 1911 sous le nom « d’institution secondaire libre Saint-Michel ». Elle aurait dû être ouverte en octobre mais pour des raisons d’hygiène « assez fantaisistes » (qualité de l’eau), l’ouverture fut retardée.
Le caractère confessionnel de l’établissement est solennellement affirmé. Trois beaux Christs destinés aux classes furent bénis par l’Evêque. Vêpres, processions, musique, chants… l’événement semble avoir eu un retentissement important dans la ville.
Le soir, un spectacle théâtral, a eu lieu dans la salle Jeanne d’Arc.
Les difficultés que j’ai évoquées l’an dernier ne font que se développer. Les étudiants contestent de plus en plus souvent et de plus en plus violemment les professeurs qui leur sont été imposés. Le Roi, qui essaie de contrôler la presse, les publications en général, ne semble plus rien maîtriser. Et, surtout, les complots de la Charbonnerie se multiplient malgré les condamnations à morts des complotistes.
On m’a offert un roman de Monsieur de Chateaubriand. Le titre en est Atala : les amours de deux sauvages en Louisiane. J’ai beaucoup aimé ce roman et je me suis intéressé ensuite à cet écrivain. Je ne savais pas qu’il était aussi diplomate. En 1822, il est nommé ministre des Affaires étrangères. J’ai essayé ensuite de lire le Génie du christianisme. Mais j’avoue avoir eu beaucoup plus de mal. C’est bien le roman qui me convient le mieux.
La semaine dernière, je regrettais les délais de publication des comptes rendus des conseils municipaux. D’une manière générale, au-delà de ces délais, ces comptes-rendus font rarement apparaître la justification des choix qui y sont faits. On le sentiment que tout se passe hors du conseil qui ne sert que de chambre d’enregistrement. Cette impression semble confirmée par un article d’un journal mayennais en ligne (leglob-journal.fr) paru le 02/02/2021.
Le journaliste présent lors de l’avant-dernier conseil est plutôt critique sur son fonctionnement.
« Les conseillers ont approuvé, comme un seul homme, des délibérations résumées, sans lever la main. »
« Aucune délibération dans sa version définitive n’est donc présentée officiellement en séance du conseil municipal. »
Normalement, chaque conseiller municipal devrait être au courant des affaires de la commune faisant l’objet d’une délibération. On peut alors comprendre les votes à l’unanimité pratiquement systématiques des conseillers de la majorité.
Quant aux échanges du maire avec le représentant de l’opposition, l’acoustique de la salle, « les deux interlocuteurs qui se coupent mutuellement la parole (…) empêche de bien saisir ce qui se dit. ». Le journaliste espère alors que « le procès-verbal pourra tenir compte au plus juste des propos tenus pas chacun. » Ce dont personnellement je doute…
En conclusion : « Jean-Marc Alain est un beau parleur, il séduit énormément… » mais « il y a un « manque de rigueur et d’informations précises. »
Il s’agit vraisemblablement de l’épouse de François Fleury, journalier, née en 1900 à Désertines, recensée comme ménagère et résidant rue de Bretagne avec son mari et leurs fille : Marie, Denise, Suzanne.
Julien Loger : garde-champêtre ; François Pallés : boisselier ; Augustin Romagné : menuisier ; Louis Letissier : docteur en médecine ; Thomas Bouillon, Jean Baptiste Marie : charpentiers ; René Le Gourdelier : voiturier ; Michel Gérard, Julien Richet, Michel Daligault : tailleurs d’habits ; Georges Rouillard : cabaretier ; René Le Blanc : maçon ; Guillaume Berson, Charles Dreux : poupeliers
18e siècle : Jean Rouillard (décédé le 17/03/1776), Julien Rouillard, Etienne Rouillard, Pierre Rouillard, Joseph Rouillard, Victor Rouillard, Jean Rouillard, François Rouillard.
19e siècle : 1846 : François Rouillard (46 ans), Pierre Rouillard (52 ans) ; 1861 : Jean Rouillard (28 ans), Martin Rouillard (49 ans).
Nous partirons de Jean Rouillard (28 ans), né le 23 septembre 1833, charpentier, fils de Pierre Rouillard (58 ans), charpentier, et de Françoise Fillâtre, la Brimandière en 1861.
Pierre Rouillard épouse Françoise Fillâtre le 14/10/1823 à Gorron.
Marie-Ange Deniau (épouse Marcel Coignard), née le 15/04/1924 à Gorron. Elle est la fille de Michel Deniau, cultivateur, originaire de Saint-Aubin-Fosse-Louvain et d’Alphonsine originaire de Lesbois. La lignée ne sera pas retenue.
Marie-Josèphe Chalot (épouse Maurice Drouin), née le 12/03/1911 à Gorron. Nous ne retrouvons pas cette personne.
Marcel Deniau né le 09/03/1930 à Gorron. Il est le frère de Marie-Ange Deniau. Sa lignée ne sera pas retenue.
Marcel Delangle né 26/04/1902 à Gorron. En 1906, il est recensé avec son père originaire de Saint-Siméon. La lignée ne sera pas retenue.
Récapitulatif
Sur 27 personnes retenues, 4 sont originaires de Gorron. Aucune ne s’inscrit dans une lignée de plus d’une génération.
Récapitulatif général
Sur 346 personnes retenues, 71 sont originaires de Gorron. Sur ces 71, 29 s’inscrivent dans une lignée de plus d’une génération.
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Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
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