Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 octobre 2022 5 14 /10 /octobre /2022 10:32

A partir du recensement de la population de 1975, en ne retenant que les adultes natifs de Gorron, j’essaie de retrouver les plus anciennes familles gorronnaises. On s’aperçoit assez vite que la population est sans doute beaucoup plus mobile qu’on ne pourrait le penser dans les siècles passés.

 

1975

 

Ménages collectifs – hospice de Gorron.

Marie-Louise Milard

 

Nous ne retrouvons pas le mariage entre Jean Milard laboureur et Marie Leboulanger, parents de François Milard.

La lignée s’arrête donc à 5 générations.

5 générations

Romagné

Menuisiers - cordonniers

 

Morin

Menuisiers - mécaniciens

 

Herpin Léon Deniau

Sacristain – cirier – notaire - charpentier

 

Chemin

Cultivateurs

 

Bailleul Ernault

Bouchers

 

Delangle - Boittin

Carrier – ouvrière chaussures -Cultivateurs

 

Pottier - Gendron

Secrétaire – négociant en salaison - tanneurs

 

Milard

Menuisier – tambour de ville - laboureur

 

Récapitulatif

Sur 666 personnes retenues, 139 sont originaires de Gorron. Sur ces 139, 49 s’inscrivent dans une lignée de plus d’une génération.

Partager cet article
Repost0
13 octobre 2022 4 13 /10 /octobre /2022 10:40
Les métiers à Gorron…

Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.

 

Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)

 

Rue de Bretagne

 

N° 62 : Hôtel de la Croix.

Rectificatif

L’hôtel de la Croix, contrairement à ce que j’ai avancé la semaine dernière se situait vraisemblablement dans l’immeuble où se sont succédé, un médecin (Delécluze) puis un  notaire (Garnier), entre autres habitants.

Il y a en effet une croix contre la façade de cet immeuble.

Les métiers à Gorron…
Partager cet article
Repost0
12 octobre 2022 3 12 /10 /octobre /2022 12:18
D’HIER ET D’AUJOURD’HUI...

A partir du recensement de la population gorronnaise de 1962 et une collection de reproduction de cartes postales anciennes j’essaie de retrouver les immeubles sur les cartes postales et leurs occupants en 1962

 

Recensement de 1962

 

Rue et place de la Houssaye

 

N° 3 : Maurice Mottier, chapelier, son épouse, Marie-Louise Héron et leurs enfants Philippe et Isabelle.

D’HIER ET D’AUJOURD’HUI...
Partager cet article
Repost0
10 octobre 2022 1 10 /10 /octobre /2022 16:48

Un journal (purement fictif) tenu par un membre d’une vieille famille gorronnaise, me permet de revenir sur des éléments marquants de l’histoire de la ville dans le cadre de l’actualité nationale annuelle…

 

Le journal de Marie Constance Péan (épouse Charles Boullard)

Décembre 1886

 

Notre ville se transforme. Après la construction de la mairie et de l’église il y a une vingtaine d’années, un groupe scolaire a été réalisé rue de Normandie. On a hésité longtemps entre une rénovation de l’ancien collège, école communale de garçons, près du presbytère, et un groupe scolaire entièrement neuf. Ce deuxième projet a été retenu. Six classes, un internat pour les élèves de l’école primaire supérieure. L’enseignement à Gorron concerne 540 garçons et filles. Pour ces dernières, il est assuré au domaine de la Renardière près de l’hospice et dirigé par la supérieure de l’établissement de soins.

Un ouvrage d’Edouard Drumond : « La France juive », antisémite haineux, rencontre un grand succès. Je ne comprends pas cette haine. Tout comme l’initiative du général Boulanger qui recherche les suspects, étrangers espionnant pour l’étranger ou antimilitarisme. Cette méfiance les uns envers les autres me met mal à l’aise. La répression des grèves aussi, en particulier sur le site industriel de Decazeville

 

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2022 3 05 /10 /octobre /2022 09:36

Ce journal de bord accompagne l’écriture de mes romans présentés sur le blog à leur sortie dans la rubrique : mes publication. Il évoque succinctement les recherches nécessaires à la réalisation de ces romans.

 

Les messes noires

La semaine dernière, j’évoquais l’alchimie. Au fil du temps, les adeptes de cette pratique ont pu glisser vers l’ésotérisme, voire le satanisme. L’Eglise, à certaines époques, a combattu l’alchimie. En confrontation directe avec elle, des sectes ont pu adorer le Diable. Des rituels étaient alors mis en place dans lesquels les blasphèmes, les sacrilèges fascinaient les participants à ce qu’on appelait les messes noires. Des dérives extrêmes ont amené ces participants aux sacrifices humains, notamment de nourrissons.

Dans le roman, le jeune baron, à la recherche d’argent va organiser des fêtes payantes dans son manoir. Pour maintenir l’intérêt des participants, ces fêtes dérivèrent et aboutirent à des messes noires pratiquées dans les caves souterraines de ce manoir. 

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2022 2 04 /10 /octobre /2022 12:43

Note de lecture

 

« Je suis une fille sans histoire » (Alice Zéniter)

C’est après une interview dans une émission historique, que je me suis intéressé à l’œuvre de cette autrice. Depuis, je lis l’ensemble de ses romans. Dans ce petit livre autobiographique, on comprend en partie d’où viennent ses talents d’écrivaine. Des études littéraires poussées qui expliquent la virtuosité et la densité de son écriture. La diversité de ses centres d’intérêt qui permet de produire des romans souvent très différents. Des idées politiques, au sens large du terme, avancées, féministes, anti racistes… Et, avec cela, beaucoup d’humour, d’auto-dérision. Un personnage attachant. Un talent indiscutable. Ce genre d’autrice qui donne envie de suivre  régulièrement ses productions.

Partager cet article
Repost0
3 octobre 2022 1 03 /10 /octobre /2022 12:18
Les métiers à Gorron…

Dans le cadre de la préparation de l’exposition de l’association « Conservation du patrimoine gorronnais », je reprends le document de Joseph Lecomte qui donne les numéros des immeubles dans lesquels se trouvaient des débits de boisson et le compare à ma propre recherche relevant ces mêmes débits de boisson dans les recensements de la population gorronnaise depuis 1846 jusqu’à 1936.

 

Les débits de boisson au 20e siècle (à partir du document « La Belle Epoque… des cafés à Gorron » de Joseph Lecomte)

 

Rue de Bretagne

 

N° 62 : Hôtel de la Croix.

Sur les cartes postales anciennes, les prise de vue ne permettent pas de voir ce qui correspondait au n° 62, jouxtant normalement l’hôtel Fouqué.

En 1906, 1922 et 1936 il n’y a pas de débitant ou d’hôtel à cet endroit.

Si un visiteur du blog a des informations sur cet hôtel, je suis preneur.

Partager cet article
Repost0
2 octobre 2022 7 02 /10 /octobre /2022 10:02

Depuis de nombreux mois, déjà, je me suis intéressé au cimetière de Gorron : les plus anciennes tombes, les différents modèles, les familles les plus anciennes, les tombes devant être relevées… Pour clore cette séquence, j’ai recensé les éléments personnalisant les défunts en dehors des inscriptions.

Un livre ouvert. Une plume pour rédiger un texte. Un bougeoir. Deux connotations possibles : ou on tient à signifier qu’on n’oubliera pas la défunte, voire même qu’on consignera des souvenirs d’elle ; ou le défunt était proche des livres, comme lecteur, voire écrivaine elle-même…

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2022 6 01 /10 /octobre /2022 15:48

 

A partir des signataires des documents prérévolutionnaires ( Questionnaire de l’assemblée provinciales du Maine, Cahiers de doléance) j’essaie de retrouver des descendants gorronnais à ces signataires.

 

Familles influentes lors de la Révolution

 

Descendants famille Grangeré

Jean Grangeré, laboureur ( vraisemblablement) marié à Julienne Seigneur, fils de Jean Grangeré et de Julienne Quentin.

 

Lignée : Jean Grangeré/Julienne Quentin › Jean Grangeré/Julienne Seigneur › Pierre Grangeré/Marie Travigné › Pierre Grangeré/Marie Jambin…

 

1846

Pierre Grangeré et Marie Travigné mariés le 28/04/1835 à Gorron. Pierre Grangeré, maçon, le Pont d’Hercé est les fils de Pierre Grangeré et Marie Jambin.

François Louis Grangeré, laboureur, la Croix des Quatre Epines mariés à Marie Berrier le 26/11/1827 à Gorron.

 

A suivre…

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2022 5 30 /09 /septembre /2022 11:54

 

A partir du recensement de la population de 1975, en ne retenant que les adultes natifs de Gorron, j’essaie de retrouver les plus anciennes familles gorronnaises. On s’aperçoit assez vite que la population est sans doute beaucoup plus mobile qu’on ne pourrait le penser dans les siècles passés.

 

1975

Ménages collectifs – hospice de Gorron.

 

Marie-Louise Milard

 

1ère génération

Marie-Louise Milard

S P

 

 

Hospice de Gorron

1975

2ème  génération

Louis Milard

Menuisier

Germaine

 

Rue des Sarrazins

1921

 

3ème génération

François Milard

Tambour de ville

Vitalie Lepoureau

 

Rue des Sarrazins

1891

4ème génération

François Milard

 

Florence Meslin

 

 

1875

5ème génération

François Milard

 

Anne Rouillard

 

 

1818

 

François Milard et Vitaline Lepoureau se sont mariés le 03/04/1875 à Gorron. François, originaire de Gorron, est le fils de François Milard et de Florence Meslin.

François Milard est le fils de François Milard et de Anne Rouillard, mariés à Gorron le 22/06/1818.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de jouvinjc
  • : Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
  • Contact

Texte Libre

Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par courriel à l'adresse suivante : jouvinjc@wanadoo.fr

Recherche