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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:46

Vous trouverez cette semaine (30ème /2013)

Catégorie histoire locale :

- Trente Glorieuses : transformation des voies de circulation…

  • Gorron : nourriture/restauration…
  • Vie économique : commerce de bonneterie, Grande Rue…

- Biographie : Jean-Jacques Garnier, portrait (14)…

Catégorie échanges :

  • Correspondance pendant la Seconde Guerre mondiale : le commerce s’élargit.…
  • Souvenirs : l’ancien Collège d’Ernée, les ateliers…

Catégorie fictions :

  • Saga Gorronnaise : les Noëls d’antan…

Point de vue :

- De Jean-Jacques Garnier à Ernest Renan : portrait…

( ! ) Un problème technique empêche l’ouverture de la catégorie « fiction ». Vous pouvez y accéder en cliquant directement sur les articles.

( ! ) Un changement dans l’administration du blog peut perturber la présentation des articles

La place de la Butte St Laurent.

La place de la Butte St Laurent.

Actualité de la semaine (30ème/2013).

D’HIER ET D’AUJOURD’HUI…

Le boulevard Ladauphin-Blinière.

En 1832, on accédait à la Butte Saint Laurent par les deux extrémités de la rue de la Renardière (l’actuelle rue de l’hospice, autrefois rue de l’abreuvoir, et l’actuelle rue Montoise).

Cette voie, nommée boulevard Ledauphin-Blinière, du nom d’un maire de Gorron (de 1821 à 1851), bienfaiteur de l’hospice créé sur le domaine de la Renardière, a été ouverte entre 1891 et 1896.

Elle était bordée d’arbres sur un côté, d’où sa qualification de boulevard.

Extrait du cadastre.

Extrait du cadastre.

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:40
Nourriture/restauration pendant les Trente Glorieuses.

Nourriture / restauration pendant les Trente Glorieuses…

1936 : 109.

Bouchers (11), boulangers (15), charcutiers (12), cuisinières (6), débitant(es) (36), distillateur, entrepositaire de bière, épiciers (21), fromager, garçon de cave, maîtres d’hôtel (2), marchand de vin, pâtissiers,

1962 : 57.

Apprentis bouchers (2), apprentis boulangers (2), apprentis charcutiers (3), boulangers (5), bouchers (4), charcutier (4), commis charcutier, commerçants primeurs (2), commis de cuisine, cuisinier, commis bouchers (2), débitant(es) (11), épiciers (5), épicier ambulant, fille de salle, femme de cuisine, hôteliers (2), marchand de fromage, marchand de poissons, marchand de bière et de charbon, ouvriers boulangers (2), ouvrier charcutier, plongeur, pâtissier.

1975 : 56.

Débitants(es) de boisson (7), commerçantes alimentation (3), bouchers(ères) (7), employée de boucherie, charcutier, ouvriers charcutiers (3), boulangers(ères) (7), ouvriers boulangers (2), ouvrier boucher, restauratrices (2), employés de restaurant (2), cuisiniers (3), chefs cuisiniers (2), gérante alimentation, serveuse, hôteliers(ères) (2), boucher charcutier, boucher marchand de bestiaux, employée de bar, charcutiers(ères) (2), gérants(es) Economique (2), vendeur alimentation négociant bière et charbon, hôtel restaurant, plongeuse.

Si les mêmes précautions doivent être prises dans les comparaisons entre les différents recensements (selon les années, les conjointes et les enfants les plus âgés peuvent être recensés sous la profession du père), on peut cependant noter les évolutions suivantes :

Le nombre de métiers relevant de la nourriture et de la restauration diminue significativement après la Seconde Guerre mondiale pour se stabiliser entre 1962 et 1965.

Hôtel du Pigeon Blanc.

Hôtel du Pigeon Blanc.

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:37

Transformation des voies de circulation et des conditions de circulation pendant les Trente Glorieuses.

Même si on est loin des travaux de percement et d’élargissement des vieilles rues de Gorron effectués dans la seconde moitié du 19ème siècle, la ville bouge au niveau des voies et des conditions de circulation.

Des percements ou des aménagements de voies existantes…

Projet de construction du chemin de la Bannetière (ancien chemin de Gorron à Brecé) en 1946 ; construction de la route de la Chênerie. En 1951 ; aliénation de la portion du chemin du Traillon en 1952 ( ancien chemin qui prolongeait la rue du Pré jusqu’à Brecé : rue du Pré qui s’appelait alors chemin de Gorron à Mayenne) ; travaux boulevard Ledauphin-Blinière en 1964 ; ouverture d’une voie desservant le CEG : la rue Jacques Prévert en 1973.

Je n’ai pas retrouvé la date du percement de l’actuelle rue du Général de Gaulle reliant la rue de Normandie et le Champ de foire. Si quelqu’un connaît la date ( ?).

Des travaux classiques d’entretien…

Programme d’aménagement de la voirie, réfection des chemins communaux en 1954 ; réfection des chaussées, caniveaux et trottoirs ; goudronnage des chemins vicinaux en 1955 ; travaux sur les voies communales en 1960.

Parkings et réglementations diverses…

Réglementation des leçons de conduite sur la voie publique en 1953 ; les véhicules sont exempts d’éclairage pendant le fonctionnement de l’éclairage public en 1959 ; mise en place des panneaux de signalisation des chemins de ferme en 1962 ; pose de panneaux stop et

vitesse des véhicules limitée à 60 km/h en 1963.

Aménagement de la place près de l’église en 1961 ; mise en place d’un sens unique rue de la Mairie en 1968.

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:31
La Grande Rue.

La Grande Rue.

Commerce bonneterie/mercerie : Grande Rue.

Commerce mercerie/bonneterie, 1 Grande Rue.

Familles : Lelièvre/Bellier/Manoury.

En 1975, Roger Manoury (originaire de Gorron) et Solange Manoury/Brière, tiennent un magasin de mercerie bonneterie, 1 Grande Rue. A l’emplacement de ce magasin se situe actuellement la « Maison du bocage ».

Cette boutique existait en 1886. Jean-Baptiste Lelièvre, coutelier, et son fils Henri, figurent en effet sur les listes de recensement, au niveau de l’emplacement actuel.

On retrouve Henri Lelièvre, marié à Hortence Sénéchal, d’abord coutelier (en 1896), puis mercier, au même endroit en 1901 et 1906.

En 1921, Georges Bellier (originaire de Château-Gontier, recensé comme négociant, sans précision) et sa femme Jeanne Bellier (originaire des Ardennes ?), tiennent vraisemblablement le commerce.

En 1936, c’est Julien Manoury (originaire de Château-Gontier) et sa femme Marie Manoury (originaire de Bierné) qui sont recensés comme marchands de mercerie (avec un rayon coutellerie).

En 1962, le fils, Roger Manoury et sa femme Solange/Brière, ont repris le commerce.

Commerce bonneterie/mercerie : Grande Rue.
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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:30

De Jean-Jacques Garnier à Ernest Renan…

Nous avons vu que Jean-Jacques Garnier était de constitution plutôt robuste. C’est loin d’être le cas pour Ernest Renan.

Né prématuré, on a craint pour sa survie dès sa petite enfance. Il est décrit comme un enfant calme et plutôt fragile. A huit ans, une forte et durable fièvre le place aux portes de la mort. Comme bien souvent à l’époque, en Bretagne, il est mis sous la protection de la Vierge de qui on implore le secours. Cette santé fragile lui joue encore des tours à l’âge de 21 ans où il doit interrompre ses études pendant plusieurs mois à cause, à nouveau, d’une forte fièvre.

Un portrait dressé par l’abbé Joseph Cognat, repris dans la biographie de Jean-Pierre van Deth permet de mieux connaître le jeune Ernest Renan : « Son corps chétif portait une grosse tête dont les yeux presque toujours baissés semblaient (…) lire sous terre et ne se relevaient que pour regarder de côté. Timide jusqu’à la gaucherie, pensif jusqu’au mutisme, ne se mêlant jamais aux jeux, il était fort embarrassé de lui-même pendant les récréations… ».

La faiblesse physique que l’on trouve dans ces descriptions s’accordait à une certaine faiblesse de caractère. Faiblesse qui vraisemblablement n’était que la manifestation de sa bonté. Ernest était calme, sage, bon et doux…

Avec son exceptionnelle réussite dans ses études, ces traits de caractère, le rapprochent de Jean-Jacques Garnier. Nous verrons comment ils se manifesteront au cours d’une carrière qui, elle aussi, sortira de l’ordinaire.

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:28

Correspondance pendant la Seconde Guerre mondiale…

Au départ, la famille qui emploie Renée, demande respectueusement des œufs et du beurre pour une sœur malade. Puis les demandes se diversifient. Et, comme nous l’avons vu la semaine dernière, les envois se perfectionnent.

On organise un système de paiement à partir de mandats et de chèques. Les Parisiens envoient « des feuilles jaunes pour les mandats ». « Je vous ai envoyé un chèque de 600 F. vous avez omis de mettre le bureau de Rennes, je l’ai ajouté. »

On commence à prendre conscience des risques inhérents à ce qui peut être considéré comme du marché noir : « N’hésitez pas à faire une déclaration sur la caisse du moment qu’il y en a une et que ce n’est pas exagéré les colis ne sont pas ouverts du moment que le poids concorde avec le colis. ». On demande d’adresser les colis au nom de la mère du bénéficiaire « comme cela il y a moins de risque ».

Et enfin, les demandes peuvent concerner d’autres personnes que la famille elle-même : « J’ai un ami qui tient un café, il me charge de vous demander s’il serait possible de trouver à acheter du cidre il se chargerait d’aller le chercher. ».

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:13
L'ancien Collège d'Ernée...

Les ateliers

Quittons le bâtiment central. Entre celui-ci et l’annexe se trouvaient les ateliers. N’oublions pas que le collège avait été une école primaire supérieure et professionnelle. Et qu’une section technique faisait son originalité.

Tous les élèves connaissaient l’atelier bois, premier bâtiment séparé de l’aile droite par une petite cour, interdite elle aussi car difficile à surveiller. De cet atelier bois, chacun pouvait voir par des cloisons vitrées les élèves de l’atelier fer. Ces derniers avaient un réel prestige. C’est parmi eux que l’on trouvait les plus vieux internes, au « costume » un peu particulier. Bleu de travail, galoches de protection, autant de signes d’un certain « statut ». Plus rebelles, plus durs à la discipline, mais aussi, parfois, moins performants sur le plan scolaire…

Combien de pseudo vocations sont-elles nées là, derrière ces vitres ? En atelier fer on se déplaçait, on parlait, on sifflotait même, si on le voulait. Combien de littéraires peu habiles de leurs mains se sont-ils laissés prendre ? Et quand ils se retrouvaient à limer désespérément de mauvaises pièces métalliques salissantes et froides, il était souvent trop tard.

Les plus habiles et les plus intéressés avaient l’espoir de travailler sur les machines : tours, fraiseuses, étaux-limeurs… Des machines qui n’avaient guère évolué depuis le début du 20ème siècle. Pour les autres, à part d’antiques perceuses, ils avaient droit à la forge. Un réduit noirâtre où les élèves fabriquaient de petits volcans en faisant brûler du suif dans des boîtes de conserves. L’eau jetée sur les flammes déclenchait des irruptions spectaculaires atteignant le plafond de la forge. Tout cela rigoureusement interdit, bien sûr.

Avec le prestige supposé et rapidement surfait de la section technique, un matériel particulier pouvait aussi faire un temps illusion. Pied à coulisse, trousse pour le dessin industriel… autant de fournitures réservées à « l’élite ». Si certains se sont réalisés dans cette orientation, d’autres y ont manifestement gâché leur cursus par défaillance de l’orientation.

L'ancien Collège d'Ernée...
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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:12

Les Noëls d’antan…

Je n’ai pas connu ces nuits merveilleuses au cours desquelles les familles quittaient les maisons parfois couvertes de neige pour l’église du village. Je dis merveilleuses car c’est le terme utilisé par les croyants qui fêtent la naissance du fils de leur Dieu. Notre conteur était de ceux-là. Il croyait dur comme fer à l’étable, le bœuf, l’âne et le petit Jésus né dans la paille. Il nous a fallu faire taire quelques mécréants qui remettaient joyeusement en doute la virginité de la mère et la conception divine. Mais quand notre pauvre camarade décrivit les lumières tremblotantes de la petite église, les fidèles rassemblés écoutant le prêche, la joie éprouvée pelotonné entre ses parents chaudement couverts, tout le monde se tut. Chacun revivait alors ces nuits de noël d’avant… Avant ce que ce Dieu, comme les autres, n’avait pu empêcher.

Chez moi, il n’était pas question de messe de minuit. Dans la famille Pouilleul, les superstitions étaient bannies. La raison, le savoir, l’Education… et le grand homme Hugo, chantre du progrès, occupaient toute la place. Il n’empêche que le 24 décembre on se couchait plus tard. Je crois même qu’on attendait l’appel des cloches, un peu gêné sans doute, de communier quand même avec ces pauvres naïfs soumis à l’Eglise et à l’ennemi clérical. Il y avait moins de gêne le lendemain quand maman préparait le repas annuel. On ne s’interrogeait plus sur la signification de ce festin, on le savourait. Tout comme je recevais, ému, les modestes cadeaux qui l’accompagnaient.

Quand j’ai vu le visage supplicié de notre conteur de la veille essayant désespérément de balbutier quelques mots, je n’ai pu m’empêcher de penser à son petit sabot déposé devant la cheminée. Ses yeux émerveillés d’enfant découvrant de pauvres friandises se tournaient vers les flammes du foyer qui dansaient dans ses prunelles. Maintenant, l’un était exorbité et pendait sur la joue souillée. L’autre était déjà mort comme voilé. J’aurais voulu avoir la force de l’achever et je crois bien que c’est ce qu’il demandait à travers ses bulles roses. Mais au lieu de cela, je fus subitement pris d’une quinte de toux qui me fit vomir. Je m’éloignais lâchement espérant qu’au retour les brancardiers seraient passés. Ce ne fut pas le cas et nous dûmes veiller le moribond pendant des heures dans notre casemate empuantie secouée par un nouveau bombardement, insensibles au calendrier.

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 22:06
De Jean-Jacques Garnier à Ernest Renan.

De Jean-Jacques Garnier à Ernest Renan…

Nous avons vu que Jean-Jacques Garnier était de constitution plutôt robuste. C’est loin d’être le cas pour Ernest Renan.

Né prématuré, on a craint pour sa survie dès sa petite enfance. Il est décrit comme un enfant calme et plutôt fragile. A huit ans, une forte et durable fièvre le place aux portes de la mort. Comme bien souvent à l’époque, en Bretagne, il est mis sous la protection de la Vierge de qui on implore le secours. Cette santé fragile lui joue encore des tours à l’âge de 21 ans où il doit interrompre ses études pendant plusieurs mois à cause, à nouveau, d’une forte fièvre.

Un portrait dressé par l’abbé Joseph Cognat, repris dans la biographie de Jean-Pierre van Deth permet de mieux connaître le jeune Ernest Renan : « Son corps chétif portait une grosse tête dont les yeux presque toujours baissés semblaient (…) lire sous terre et ne se relevaient que pour regarder de côté. Timide jusqu’à la gaucherie, pensif jusqu’au mutisme, ne se mêlant jamais aux jeux, il était fort embarrassé de lui-même pendant les récréations… ».

La faiblesse physique que l’on trouve dans ces descriptions s’accordait à une certaine faiblesse de caractère. Faiblesse qui vraisemblablement n’était que la manifestation de sa bonté. Ernest était calme, sage, bon et doux…

Avec son exceptionnelle réussite dans ses études, ces traits de caractère, le rapprochent de Jean-Jacques Garnier. Nous verrons comment ils se manifesteront au cours d’une carrière qui, elle aussi, sortira de l’ordinaire.

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 17:44

Vous trouverez cette semaine (29ème /2013)

Catégorie histoire locale :

- Trente Glorieuses : les fêtes…

  • Gorron : le travail du bois…
  • Vie économique : quincaillerie rue de la Mairie…

- Biographie : Jean-Jacques Garnier (13)…

Catégorie échanges :

  • Correspondance pendant la Seconde Guerre mondiale : la famille B.…
  • Souvenirs : l’ancien Collège d’Ernée, les dortoirs (2)…

Catégorie fictions :

  • Saga Gorronnaise : la fin d’année…

Point de vue :

- De Jean-Jacques Garnier à Ernest Renan : le petit séminaire…

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Actualité de la semaine (29ème/2013).

D’HIER ET D’AUJOURD’HUI…

La rue des Poiriers (rue de Bretagne actuelle).

Carte postale

La rue des Poiriers commence au croisement de la rue de la Houssaye et de la rue de la Montée et rejoint le Pont de Hercé. A noter que la rue Magenta, sur le cadastre de 1932 n’est pas encore ouverte.

Actualité de la semaine (29ème/2013).

Cadastre

La rue des Poiriers était plus étroite, plus sinueuse que la rue de Bretagne. Elle a été retracée et élargie entre 1851 et 1856 et prolongée par la rue Magenta. On peut voir sur la gauche l’arrivée de la rue Montoise (le boulevard Ledauphin Blinière n’est pas encore ouvert ; il le sera entre 1891 et 1896) et sur la droite, l’arrivée de la rue des Chauvinettes.

Actualité de la semaine (29ème/2013).

Extrait du plan.

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  • : Le blog de jouvinjc
  • : Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
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Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par courriel à l'adresse suivante : jouvinjc@wanadoo.fr

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