Note de lecture… par JC.
« Le pain noir » (Georges Emmanuel Clancier).
Classique, trop classique… L’histoire d’une famille qui, de métairies au faubourg miséreux d’une ville, connaît la faim, les accidents, la maladie… Le genre d’histoire trop exploitée qui finit pas lasser.
Heureusement il y a l’écriture, limpide, poétique. Heureusement il y a l’héroïne principale, cette fillette attachante aux rêves souvent déçus. Le chapitre, notamment, en fin d’ouvrage où elle rencontre enfin sa princesse dans le lieu magique aux multiples lumières. La grande salle avec ses milliers de livres et son instrument de musique jusqu’alors inconnu.
A ce moment, le roman prend une autre dimension et on comprend alors l’importance de l’auteur, poète et romancier de grand talent.
A noter que la publication ne précise pas que l’ouvrage présenté est un tome d’une histoire beaucoup plus vaste qui se déroule jusqu’à la Seconde Guerre mondiale…