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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 11:49
Fermes et hameaux au 19ème siècle…

Le Bray

Trois familles, le plus souvent, habitent les lieux. Une d’entre elles, Pierre Lhuissier et Scholastique Choyer, présente aux recensements de 1856 et de 1876, a vécu au Bray pendant au moins vingt ans.

1846

Jean Buschau, laboureur, et Françoise Lhuissier.

Louis Vaugeois, laboureur, et Jeanne Caillebotte.

1856

Françoise Lhuissier (veuve Beuchaud/Buschau), fileuse.

Pierre Royer, laboureur, et Mélanie Montaufray.

Pierre Lhuissier, laboureur, Scholastique Choyer.

1876

Scholastique Choyet (veuve Lhuissier), fermier.

Madeleine Lhuissier (veuve Colin), fermier.

Marie Lhuissier (veuve Durand), fermier.

1906

Marie Piau (veuve Lochu), cultivatrice.

Reine Jourdain, fileuse.

Julien Bonjour, cultivateur, et Thérèse Mérienne.

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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 11:44
Un siècle d’histoire gorronnaise…
Un siècle d’histoire gorronnaise…

La rue Jean-Jacques Garnier (suite).

Immeuble n°1

Il peut aussi être recensé, le plus souvent, place des Quatre Piliers (actuellement du Général Barrabé).

Une carte postale atteste la présence d’un ferblantier : Leconte Henri, recensé rue Jean-Jacques Garnier en 1906.

Les artisans/commerçants/professions libérales en 1872

Fermier, marchand de faïence, maçons (3), cabaretier/cafetiers/aubergistes /débitant (9), chiffonnier, blanchisseurs (2), marchands de laine (2), meunier, marchand de fil, boisselier, bouchers (2), tailleur de pierre, cordonniers (4), voiturier, menuisier, teinturiers (2), marchand de grains, forgeron, marchands en détail (3), marchande de légumes, ferblantier, charpentier, marchand de chapeaux, épicière, boulanger.

Un siècle d’histoire gorronnaise…
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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 11:41
Vers l’an 2000...

Gorron à la veille de la guerre.

Différents services présents sur la commune (suite).

La gendarmerie : un chef de brigade et quatre gendarmes.

La justice : un juge de paix, un huissier/greffier.

La santé : trois médecins, une clinique, un hospice, une sage-femme, deux dentistes ; deux pharmaciens.

L’enseignement public : une école de garçons (trois enseignants), une école de filles (deux enseignantes), une école maternelle (deux enseignantes).

L’enseignement privé : une école de garçons (trois enseignants), une école de filles (quatre enseignantes), une école maternelle (deux enseignantes).

Le clergé paroissial : un curé-doyen, un vicaire (avec un suisse et un sacristain).

Les religieuses : gardes-malades à la clinique (quatre sœurs de la communauté de Gacé), à l’hospice (trois sœurs de la communauté de Briouze).

Transports

Un service d’autobus et de train à vapeur (Société centrale de Chemins de fer et d’Entreprises) en direction de Mayenne, Fougères, Landivy, Ernée, Vitré.

Une entreprise d’autocars (Morin) en direction d’Ambrières, Désertines, Le Teilleul.

A suivre…

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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 11:39
Classes anciennes…

Privé/maternelle/1933 (suite et fin)

4ème rangée

N° 1 : Gabrielle Quinton, fille de Jean-Marie Quinton (épicier) et de Marie-Louise Quinton (épicière), rue de la Houssaye.

N° 5 : Marie Drogoul, fille de François Drogoul (chauffeur) et de Berthe Drogoul (SP), la Maison Neuve.

N° 8 : André Guyot, fils de Joseph Guyot (menuisier) et de Germaine Guyot (SP), rue Jean-Jacques Garnier.

5ème rangée

N° 2 : Jeanine Foucoin, fille de Marcel Foucoin (sabotier) et de Suzanne Foucoin (SP), le Bignon.

N° 3 : Céline Fillâtre, fille de Marcel Fillâtre (notaire) et Cécile Fillâtre (SP), rue de la Mairie.

N° 4 : Annick Fanneau, petite-fille de Victor Fanneau (boucher) rue de la Mairie.

N° 6 : Thérèse Moreau, fille d’Omer Moreau (tailleur) et de Marie Moreau (commerçante), rue de la Mairie.

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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 11:36
La famille Foucoin ou Foucouin...

Constant Foucoin.

Il y a quelque temps déjà, j’ai reçu une demande de renseignements sur la famille Foucoin :

« Je recherche tous documents concernant ma famille native de Gorron, grand- père FOUCOUIN Constant sabotier rue du Bignon, mort en 1916 à Verdun ainsi que sur son fils un des derniers sabotiers de Gorron. J'ai passé une partie de la guerre 40 à Gorron chez mon oncle sabotier et fréquenté l'école maternelle - mon père FOUCOUIN Georges était marié à Constance DUPONT native de LESBOIS et dont le père étant maréchal-ferrant et bistrotier à LESBOIS, apparentée aux familles CARRE, CHENU - TROLLET »

Jacqueline G. qui demandait ces renseignements, a fait aussi état de souvenirs d’enfance. C’est ce genre d’échanges qui peut justifier l’existence du blog. Je vais reprendre quelques éléments transmis par Jacqueline pour revenir sur quelques éléments de l’histoire gorronnaise.

Constant Foucoin, tout d’abord, mort à Verdun en 1916. je l’ai facilement retrouvé dans mon ouvrage sur les « Gorronnais, morts pendant la guerre 1914/1918 » et je vais le faire « revivre » un peu en m’intéressant à son histoire et aux sabotiers de Gorron.

FOUCOIN Constant

Né à Gorron le 22 avril 1875. Mort le 25 avril 1916 ; il avait 41 ans.

Incorporé au 26ème Régiment d’Infanterie territoriale, il est mort dans l’ambulance à Duguy (Meuse)

En 1906, il habitait avec sa femme Victorine et son fils Marcel, rue de l’Eglise. Il était patron sabotier.

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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 11:29
Sur les pas de Jean-Jacques Garnier…
Sur les pas de Jean-Jacques Garnier…

Où l’on croise E. Renan.

La rencontre de Pauline Viardot et d’Yvan Tourgueniev qu’Alain nous narre sur le blog nous a amenés devant la tombe du peintre Ary Scheffer. Et là, une nouvelle surprise m’attendait. Je savais qu’Ernest Renan était marié à la nièce d’Ary Scheffer, Cornélie, rencontrée dans le salon du peintre fréquenté par beaucoup d’artistes et intellectuels de l’époque. Mais je ne savais pas qu’il reposait dans le même tombeau.

Les visiteurs fidèles du blog se souviennent peut-être que dans la rubrique « point de vue », j’avais fait un parallèle entre les vies de Jean-Jacques Garnier et d’Ernest Renan, présenté de la manière suivante : « Dans le cadre de mes recherches historiques sur Gorron, j’ai rencontré une figure incontournable, le personnage de loin le plus célèbre de la ville : l’abbé Jean-Jacques Garnier. A près d’un siècle de distance, (Garnier est né en 1729, Renan en 1823), des similitudes évidentes sont apparues entre les deux vies exceptionnelles. » Pendant quinze semaines (en 2013), les deux personnages se sont rencontrés, tout du moins, dans mon esprit.

Une autre surprise m’attendait. A côté du tombeau, une sépulture : celle de Laure Adélaïde Constance de Permon, duchesse d’Abrantès. Dans la biographie de Balzac de Stéphan Zweig, cette mémorialiste est citée comme une des maîtresses de l’écrivain. A l’époque de cette lecture, j’avais envisagé d’étudier le personnage, femme de Junot, duc d’Abrantès, ancêtre d’un maire de Gorron. Cette rencontre inopinée dans le cimetière de Montmartre a relancé cette idée.

Ces promenades historico-littéraires remplissent, décidément, pleinement leur fonction.

Sur les pas de Jean-Jacques Garnier…
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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 11:26
Le Taillis de la mort…

La naissance d’une vocation.

Marscus ne chassa jamais. Il réussissait très mal ce qu’il entreprenait pour aider la famille. La taille des pierres, la préparation des peaux, lui amenaient toujours des remarques humiliantes, même de la part de sa mère. Il ne semblait trouver sa place qu’au fond de la grotte. Là où les torches étaient impuissantes à repousser l’obscurité. Il se risqua même à se glisser dans l’étroit boyau réservé au Chaman. Plusieurs fois dans l’année, celui-ci disparaissait dans ce passage réservé. Il emmenait toujours avec lui des herbes, des boissons étranges et de ces pâtes colorées que Marscus n’avait cessé de travailler depuis la journée des grottes. La première et la dernière à laquelle il avait assisté.

Un jour, le Chaman lui demanda s’il n’était pas entré dans l’étroit passage. Il crut connaître encore reproches et rejet. Mais il fut étonné de l’intérêt porté aux traces qu’il avait laissées sur les parois du boyau. Dès qu’il le pouvait, il manipulait la pâte, isolé dans ce qu’il croyait être le plus profond de la grotte. Ce jour-là, le Chaman lui demanda de le suivre. Il découvrit qu’au bout du passage une autre salle s’arrondissait.

Il passa une journée dans cette rondeur rocheuse. Il but un étrange liquide qui, un instant, lui rappela la tension et la chaleur de la journée des grottes, jamais retrouvées. Le Chaman lui montra les traces qu’il avait lui-même laissées sur la paroi. Marscus les suivit du doigt. Et, avec stupeur, il vit émerger la silhouette d’un cheval en pleine course. Il eut droit d’ajouter quelques taches sur le dos de l’animal.

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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 11:23
Point de vue… par JC

L’éditorial du maire dans Gorron Infos.

Depuis mai 2014, le maire a son éditorial dans Gorron Infos. Dans le Canard Enchaîné, une rubrique épingle les élus dont on voit la « binette partout » dans leur bulletin municipal. Ce n’est pas le cas du nôtre. Et que le maire s’exprime personnellement, chaque mois, n’est pas une mauvaise chose.

Par contre, le contenu de ces éditoriaux nous laisse un peu sur notre faim. Il y a quelques années déjà, une tentative de « Boîte à idées » a été faite dans Gorron Infos. Je ne sais pas si cette tentative de dialogue a porté ses fruits. Sans doute que non puisque la rubrique a disparu. Mais il serait intéressant que ces éditoriaux soient l’occasion de relancer ce dialogue entre le maire et ses administrés.

Pour l’instant, l’éditorial se contente, le plus souvent, de reprendre des informations déjà présentes dans le bulletin. On aimerait avoir une réflexion plus « politique » (au sens gestion de la cité) qui donnerait une idée de la complexité de la tâche et l’explication des choix qui doivent être faits avant les initiatives prises.

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 11:48

Vous trouverez cette semaine (3ème semaine 2015)…

Catégorie histoire locale :

  • Un siècle d’histoire gorronnaise : la rue Jean-Jacques Garnier (suite)…
  • Fermes et hameaux au 19ème siècle : le Chêne Roignoux (2)
  • Gorron vers l’an 2000 : Gorron à la veille de la guerre…
  • Photos de classes anciennes : Privé / maternelle / 1933…

Catégorie échanges :

  • Témoignage : la famille Herpin (21)…
  • Sur les pas de Jean-Jacques Garnier : la tombe de Pauline Viardot…

Catégorie fictions :

  • Le Taillis de la Mort : une nouvelle découverte…

Point de vue :

-Note de lecture : brouillard (Jean-Claude Pirotte)…

D’HIER ET D’AUJOURD’HUI

Actualité de la semaine (3ème/2015)...

Gorron Infos (octobre 2014) : « Gorron Infos : avis aux annonceurs ! Votre bulletin municipal est édité à 1 500 exemplaires chaque mois et distribué sur l’ensemble de la commune. Bien évidemment, cela représente une somme non négligeable pour la commune. C’est pourquoi, afin de réduire son coût et de le pérenniser sur sa périodicité actuelle, les élus ont émis le souhait d’insérer des encarts publicitaires dans le journal ».

Le souhait des élus s’est concrétisé dans le bulletin de décembre 2014, avec quatre encarts publicitaires. L’idée d’insérer de la publicité dans Gorron Infos n’est pas nouvelle. Huit années après sa création (1983), la proposition était évoquée dans cette forme dans le numéro de novembre 1991 : « Projet de publicité dans Gorron-Infos pour permettre d’augmenter le nombre de pages sans surcoût pour la municipalité ». Projet qui n’a pas eu de suite.

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 11:47
Fermes et hameaux au 19ème siècle…

Le Chêne Roignoux (Roignon)

Trois ou quatre ménages ont vécu sur les lieux au cours du 19ème siècle. Nous retiendrons deux familles :

Famille Couppel, propriétaire d’une ferme, présente aux recensements de 1846 et de 1876, qui a vécu plus de trente ans sur les lieux.

Famille Lebourdais, présente aux recensements de 1881 et de 1906, qui a vécu plus de vingt ans sur les lieux.

1846

Louis Couppel, laboureur, et Jeanne Gérault.

François Bourgault, journalier, et Anne Valet.

Joseph Millière, laboureur, et Hélène Cornu.

Pierre Valet, journalier, et Anne Guyard.

1866

Jeanne Gérault, propriétaire, Louis et Stéphanie Couppel, ses enfants, cultivateurs.

François Ribet, laboureur, et Marie Hercent.

Jean Penloup, laboureur, et Marie Sonnet.

1876

Louis Couppel, propriétaire laboureur, et sa sœur, Stéphanie.

Jean Penloup, fermier.

Joseph Ribay (Ribet), fermier, et Marie Hercent.

Victor Guillardeau, fermier, et Marie Clayet.

1881

Auguste Lebourdais, fermier laboureur, et Françoise Prel.

Eugène Barré, journalier, et ? Recton.

Victor Guillardeau, fermier laboureur, et Marie Clayet.

1906

Auguste Lebourdais, cultivateur.

Pierre Duroy, cultivateur, et Marie Boeda.

Henri Legauffre, cultivateur, et Marie Poirrier.

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Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par courriel à l'adresse suivante : jouvinjc@wanadoo.fr

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