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L’hospice / la maison de retraite
Rappel : l’hospice est fondé en 1822. Les bâtiments d’origine sont démolis et reconstruits en 1875. Avant la Seconde Guerre mondiale, une quarantaine de résidents sont recensés à l’hospice.
En 1962, on recense 5 religieuses infirmières, 1 aumônier et 49 pensionnaires.
En 1967, le projet de construction de ce qui deviendra le « Pavillon Maret » (actuellement le gîte de la Colmont) est discuté. Il permettra la création de « 24 lits » supplémentaires à ce que l’on nomme alors la maison de retraite. La construction débutera en 1968. En 1972, une subvention est votée pour des travaux d’agrandissement. En 1974, un bâtiment neuf est construit et l’ancien bâtiment est rénové pour un accueil pouvant aller jusqu’à 100 personnes. En 1975, on recense 1 aide soignante, 1 infirmière, 1 religieuse infirmière, 1 religieuse cuisinière et 68 pensionnaires à la maison de retraite.
Les 12 années de travaux (1966/1978) ont permis d’arriver à la situation suivante : une capacité de 98 lits (68 en chambres individuelles, 30 en chambres à deux lits). Chaque chambre comprenant un cabinet de toilette, une prise de télévision… Chaque bâtiment disposant d’un ascenseur.
L’hospice est un établissement public autonome qui a été dirigé par la communauté de Briouze jusqu’en 1977. Il est administré, en 1978, par la commission administrative composée de la manière suivante : Président : M. Dufour (maire), vice-président M. Maret (représentant le conseil général) avec M. Le Bullenger, M. Lemay (représentant le conseil municipal), M. Ledauphin (maire de Brecé).
En 1984, la maison de retraite « Saint-Laurent » (on ne parle plus d’hospice) comporte 105 lits (chambres individuelles ou à deux lits). 23 personnes et une directrice en assurent la bonne marche.
De 1992 à 1994, de nouvelles transformations sont entreprises : un nouveau bâtiment de 40 chambres sur trois étages est construit pour le passage de chambres de deux à un lit. Le pavillon Maret (construit en 1964) est désaffecté. Le bâtiment dit « milieu de cour » (logis de la Renardière) est loué à la commune pour le club du 3ème âge. Un logement de fonction pour la direction est construit en 1997.
Une centaine de lits, un personnel de 40 membres, une association de loisirs… On est loin de l’hospice qui, au début du 19ème siècle, comptait 6 membres du personnel pour 10 pensionnaires (3 malades et 7 élèves filles).