Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:38
Un siècle d’histoire gorronnaise…

La rue Jean-Jacques Garnier (suite).

La famille Douillet

1ère génération

En 1846, François Douillet, marié à Jeanne Leboulanger, est charpentier, rue du Pont neuf. Ils ont deux garçons et une fille (Basile, Alexis, Victorine).

2ème génération

En 1851, Basile Douillet est maçon et habite chez ses parents, rue des Palmes.

En 1856, toujours maçon, il habite la Pierre-Pichard avec sa femme Marie Lepage.

En 1866, il est recensé maçon, rue Garnier où il vit avec sa femme et deux enfants (Basile et Henry).

En 1872, veuf, il est remarié avec Joséphine Moreau. Il est ouvrier maçon, rue Jean-Jacques Garnier.

En 1891, Basile Douillet (maçon) est veuf une seconde fois. En 1896, il n’apparaît plus sur les listes.

3ème génération

En 1881, le fils Basile (ouvrier maçon), est pensionnaire chez la veuve Lepage (Ambroisine Bouillon), rue Jean-Jacques Garnier.

Il se marie avec Marie Lepage (le 16/04/1882).

En 1901, il est recensé comme patron maçon, rue Jean-Jacques Garnier.

4ème génération

Basile Douillet (né en 1883) fils de Basile et Marie Lepage.

En 1901, il est ouvrier maçon chez son père.

Illustration la famille Douillet dans les années 1930.

A suivre…

Partager cet article
Repost0
23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:34
Vers l’an 2 000…

L’enseignement

Enseignement public

L’enseignement public en 1945 est constitué d’une école maternelle (Butte Saint-Laurent avec accès rue de la Montée, l’école maternelle actuelle), d’une école de filles (Butte Saint-Laurent dans l’enceinte de la maison de retraite, à la place du pavillon Maret qui deviendra le gîte de la Colmont) et d’une école de garçons (rue de Normandie, école primaire actuelle).

En 1955, il était question de « l’aménagement d’un groupe scolaire à l’école publique de garçons en vue de l’installation de l’école publique de filles et ultérieurement de la maternelle publique… »

En 1959 les travaux de remise en état des classes, logements, construction de préaux à l’école publique de garçons sont en cours. Ils dureront de septembre 1958 à septembre 1960. Si l’école de filles sera bien transférée rue de Normandie après ces travaux, la maternelle restera Butte Saint-Laurent.

En 1965, une cantine est ouverte (salle préfabriquée actuellement disparue) près du groupe scolaire. En 1968, un plateau de sports sera réalisé dans le groupe scolaire.

C’est dans les locaux rue de Normandie que sera créé le Groupe d’Observation Dispersé qui deviendra le collège public. Si les premiers cours pour la 6ème sont donnés dans une classe du groupe scolaire, des classes préfabriquées seront progressivement installées dans et autour du groupe scolaire. Puis un terrain est acheté en 1965 pour la construction d’un établissement indépendant inauguré en 1975 : le Collège d’enseignement Secondaire (CES), rue Jacques Prévert (voie ouverte en 1973). En 1985, le nom de Francis Lallart est donné au collège public de Gorron. Décédé en mai 1980 alors qu’il était encore en fonction, ancien directeur de l’école publique de garçons, c’est M. Lallart, qui a créé le Groupe d’Observation Dispersé.

En 1994, une quatrième classe est ouverte à la maternelle publique. Un projet pour son transfert dans le groupe scolaire rue de Normandie n’aboutit pas et est remplacé par une extension de l’établissement.

Illustration : inauguration du collège.

Partager cet article
Repost0
23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:32
Le patronage à Gorron…

Un article d’Ouest-Eclair signalé par Claude

Nous avons plusieurs fois parlé sur le blog du patronage paroissial. Il date du début du 20e siècle (création de la Jeanne d’Arc). Il s’appelait alors Saint-Martin. Un article du 11 septembre 1943 nous donne des informations de son fonctionnement pendant la guerre.

« Au patronage Saint-Rémy de Gorron.

« Du 15 juillet au 15 septembre le patro réunit la majorité des enfants de Gorron dans un charmante propriété sur les bords de la Colmont. Les activités sont variées et adaptées à tous les âges : chants, grands jeux, concours entre équipes, grandes promenades de la journée dans les environs de Gorron (…) Pour récompenser les enfants de leur assiduité, une grande promenade de plusieurs jours a emmené petits et grands dans un coin sauvage du pays d’Auge. »

Si des visiteurs du blog ont le souvenir de ce patronage certains points seraient intéressants à préciser :

Pourquoi Saint-Rémy ? Dans les documents consultés il n’est pas fait état de cette appellation.

Quelle était cette propriété au bord de la Colmont ?

Certains jeux présentés, je les ai connus plus tard (dans les années 1950) :

Le « Grand jeu », pendant la colonie de vacances de Saint Pair sur Mer se déroulait sur trois jours (les équipes en compétition logeaient dans des granges de fermes). Le but du jeu consistait à prendre la « Vie » des adversaires (morceau de tissu placé dans le dos du joueur – coincé dans la ceinture) dans un « combat face à face ». Tout cela, bien sûr selon des règles strictes.

Les promenades d’une journée se déroulaient souvent à la chapelle Notre-Dame-du-Hec, dans la forêt de Mayenne.

D’autres souvenirs concernant le « patro » seraient les bienvenus… Je suis preneur.

Illustration : la photo illustrant l’article du journal est difficilement exploitable. Elle a été prise au même endroit que celle présentée ici (sur le côté de l’église).

Partager cet article
Repost0
23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:27
Recueil de notes sur Lesbois (1898)…

Les origines

Comme pour beaucoup de petites agglomérations, des hypothèses sont faites sur leur origine qui s’inscrivent dans la christianisation de la Gaule romaine. C’est ainsi que l’auteur des notes évoque la mission de Saint Julien, premier évêque du Mans, au 3e siècle. L’officier chargé du gouvernement de la région « accueillit avec bonté le Saint Evêque du Mans, le combla d’honneurs et lui indiqua les bourgs ou lieux principaux où il le priait d’établir des Eglises. Parmi ces lieux que visita le premier Evêque du Mans, on cite Celsiacum (Céaucé) et Gauronnum (Gorron aujourd’hui). Il est très probable que les habitants de Lesbois eurent l’occasion d’entendre les prédications de Saint Julien. Peut-être même reçurent-ils chez eux le Saint Evêque à son passage de Gorrham à Celsiacum et le prièrent de bénir un édifice ou au moins une maison particulière devant servir provisoirement d’église pour la réunion des premiers chrétiens »

Dans son ouvrage, Gabriel Boullard (souvent cité sur ce blog) est plus que réservé sur cette hypothèse. Dans les documents dont parle le curé Gougeon l’agglomération Gauronnum ou Gorrham (il utilise les deux appellations) pourrait être, en réalité Gavronno, c'est-à-dire Jublains. L’origine de Gorron remontant aux temps apostoliques étant contestée, celle de Lesbois le serait d’autant plus.

L’origine du nom paraît plus plausible : il est fait état, dès le 13ème siècle, dans des vieux parchemins de l’Apud Lebesium (près de Lebesium) - 1211. Par déformations successives, le lieu est devenu Lesbois. Cette appellation à quelque chose à voir avec le terme actuel « bois ». Il est donc raisonnable de penser que le lieu se caractérisait pas son ouverture sur les grands bois qui bordaient la forêt de Passais.

A suivre…

Partager cet article
Repost0
23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:24
Le Taillis de la Mort...

On évite le pire…

Cet épisode marqua un réel changement dans notre petite communauté. Et j’en étais en partie responsable. Même si, l’âge de chacun avançant, l’évolution naturelle y prit grandement sa part. Les petits larcins ne suffisaient plus. Et ce n’était pas tous les jours qu’on pouvait dévaliser une bonne cave. Je ne sais plus qui proposa des vols d’argent. Une chose est sûre, ce n’était pas moi. Les vrais leaders reprirent la main. Les expéditions devinrent de plus en plus risquées. C’est alors qu’une idée apparemment géniale surgit un soir de beuverie. L’alcool et le tabac avaient, en effet, trouvé une place de choix dans cette petite société qui commençait à ressembler étrangement à celle des adultes. On allait kidnapper le fils du receveur puis l’obliger à verser une rançon puisée dans son coffre que l’on jugeait bien garni.

Au départ, déjà, l’idée ne me plaisait guère. Mais les esprits s’échauffaient et le peu de bon sens qu’il pouvait nous rester disparut dans les vapeurs d’alcool. Il faut dire que la bande d’en haut avait connu la même évolution. Et qu’on était entré dans une dangereuse escalade. Mes réserves furent balayées. J’eus même l’impression d’avoir chuté d’un cran dans la hiérarchie communautaire. La chute aurait été définitive si mes compagnons avaient appris que j’étais à l’origine de l’échec de l’opération. J’avais encore quelque rancœur contre le petit bourgeois profiteur et méprisant. Mais je l’imaginais aux mains d’énergumènes pris de boisson. Je fis en sorte qu’il resta chez lui le jour de l’enlèvement projeté. Il se demande peut-être encore qui avait bien pu lui écrire pour l’informer de la menace.

La bande d’en haut qui s’était lancée, au même moment, dans une attaque en règle contre une maison cossue de la ville connut une rude épreuve. Un de leurs leaders fut pris sur le fait. Et compte tenu de son âge fut emmené par les gendarmes pour une destination inconnue. Ce qui renforçait encore la gravité de la sanction supposée. Ce fiasco des rivaux fit bien un peu rire dans notre groupe. Mais il eut aussi l’avantage de remettre un peu les pieds sur terre aux plus excités d’entre nous.

Partager cet article
Repost0
23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:15
Note de lecture... par JC

« Le capital au XXIe siècle » (Thomas Piketty)

Un pavé de plus de 900 pages. On dit que bon nombre d’acheteurs (un niveau de vente très élevé pour un essai) ne le lisent pas en entier. Personnellement, j’ai sauté beaucoup de notes de bas de page. Ceci étant dit, cet ouvrage est remarquable. Un ensemble de données exceptionnel couvrant plusieurs siècles et plusieurs pays. Le traitement informatique permettant désormais ce travail gigantesque. Une analyse de ces données rigoureuse et, en même temps modeste. Quant aux conclusions tirées, une démarche très pédagogique (avec, donc, quelques répétitions), le refus de jargonner, de se réfugier derrière des modèles mathématiques pour faire sérieux…

Economiste, Piketty se réclame de l’économie politique. Il refuse l’idéologie, s’efface derrière les données tout en s’inscrivant clairement dans les sciences sociales. Savoir de quoi l’on parle, connaître les limites des conclusions qu’on peut tirer de l’analyse des faits, c’est ce qui manque trop souvent aux points de vue d’autant plus péremptoires qu’ils sont moins étayés par les faits. Le capital au XXe siècle est un excellent outil pour ne pas se laisser prendre à des affirmations présentées comme des vérités alors qu’elles ne sont que de modestes croyances. Tout homme politique devrait avoir ce livre à son chevet et s’y replonger régulièrement.

Partager cet article
Repost0
15 mars 2015 7 15 /03 /mars /2015 12:22

Vous trouverez cette semaine (11ème/2015)…

Catégorie histoire locale :

  • Un siècle d’histoire gorronnaise : la rue Jean-Jacques Garnier (suite)…
  • Fermes et hameaux au 19ème siècle : le Bignon…
  • Gorron vers l’an 2000 : l’hospice/maison de retraite…
  • Photos de classes anciennes : Privé / filles / 1937(suite)…

Catégorie échanges :

  • L’ancienne piscine : l’inauguration…
  • Notes sur Lesbois : le document…

Catégorie fictions :

  • Le Taillis de la Mort : Ivresse…

Point de vue

  • Entretien des installations à Gorron : l’aire de jeux du plan d’eau

D’HIER ET D’AUJOURD’HUI

Actualité de la semaine (11ème/2015)
Actualité de la semaine (11ème/2015)

Exposition annuelle

Comme chaque année, une partie du travail publié sur le blog est présentée dans le cadre d’une exposition publique. Les différents documents « papier » sont complétés par des films : cette année, le bicentenaire de la Révolution et un reportage sur les industries gorronnaises en 1989.

Exposition sur l’histoire de Gorron : 21/22 mars 2015.

La prochaine exposition sur l’histoire de Gorron aura lieu les 21 et 22 mars 2015 (week-end de la Foire Fleurie), à la salle d’honneur de la mairie de Gorron. Elle a pour thème « Vers l’an 2 000 » et porte sur la période 1975/1999. Cette exposition est réalisée par JC Jouvin, dans le cadre de l’Amicale Laïque Gorronnaise.

Après l’édition de « Histoire de Gorron » l’an passé, un roman historique, « Saga Gorronnaise », du même auteur, est sorti en février 2015. Il est disponible au prix de 15 € chez l’auteur (Jouvin JC, 27bis rue des Sarrazins, Gorron, tél. 02 43 08 61 14) et dans les points de vente de livres locaux (maison de la presse et Super U). Il sera également en vente le jour de l’exposition et l’auteur pourra dédicacer votre exemplaire ce jour-là.

Partager cet article
Repost0
15 mars 2015 7 15 /03 /mars /2015 12:19
Fermes et hameaux au 19ème siècle…

Rappel : il s’agit désormais des fermes existant dans l’agglomération elle-même. Et nous prolongeons vers le 20e siècle pour faire le lien avec la rubrique « Vers l’an 2 000 ».

La ferme du Bignon

Deux familles exploitantes vivent sur les lieux. Les familles Chemin.

1846

Jean Chemin (laboureur) et sa femme Joséphine Charlot.

Pierre Chemin (laboureur), célibataire.

Nous retrouvons la famille de Jean Chemin jusqu’en 1901.

Jean Chemin et Joséphine Charlot auront trois enfants : Jean (Baptiste), Ange et Joséphine.

En 1872, le fils Jean (Baptiste), laboureur, qui a repris l’exploitation, est marié à Marie Moreau. Ils ont deux enfants : Marie et Joseph.

Jean Chemin (père), et Joséphine Charlot sont recensés comme propriétaires, avec leur fille Joséphine.

En 1876, Jean Chemin (rentier), sa femme Joséphine et leur fille Joséphine sont toujours recensés au Bignon mais, apparemment en un autre endroit de la rue. On note qu’un autre fermier est recensé près de Jean(Baptiste) Chemin et Marie Moreau.

En 1881, Joséphine Charlot est veuve. Elle vit avec sa fille Josephine.

1901

Jean (Baptiste) Chemin, propriétaire cultivateur et sa femme Marie Moreau. Trois enfants présents : Joseph, Angèle et Jean.

A suivre…

Partager cet article
Repost0
15 mars 2015 7 15 /03 /mars /2015 12:11
Classes anciennes…
Classes anciennes…

Privé/fille/1937

2ème rangée

N° 4 : Marie-Louise Olivier, fille d’Armand Olivier (peintre) et de Marie Olivier (SP), rue de la Mairie.

N° 6 : Marie-Thérèse Morin, fille de Louis Morin (cordonnier) et de Louise Morin (SP), boulevard Faverie.

N° 7 : Raymonde Lair, fille de Maurice Lair (terrassier) et Clémence Lair (piqueuse), rue du Bignon.

N° 8 : Janine Bodin, fille de Louis Bodin (scieur de bois) et de Berthe Bodin (couturière), rue du Maine.

N° 11 : Fernande Duroy, fille de Victor Duroy (cultivateur) et de Mélanie Duroy (cultivatrice), l’Epine.

N° 12 : Geneviève Chemin, fille de Gilbert Chemin (cultivateur) et de Madeleine Chemin (cultivatrice), le Bignon.

N° 13 : Andrée Gallienne, fille de Casimir Gallienne (cultivateur) et de Léontine Gallienne (cultivatrice), La Mènerie.

N° 14 : Thérèse Deniau, fille de Michel Deniau (cultivateur) et Alphonsine Deniau (cultivatrice), les Petites Fontaines.

N° 15 : Solange Brière, fille de Constant Brière (marchand de vin) et de Marguerite Brière (SP), Grande Rue.

N° 19 : Georgette Launay, fille de Georges Launay (journalier), la Brimandière.

N° 20 : Marguerite Liger, fille de Marie Liger (ouvrière en chaussures), rue de Bretagne.

N° 21 : Paulette Fougères, fille de Marcel Fougères (cultivateur) et de Madeleine Fougères (cultivatrice), la Chennerie.

Partager cet article
Repost0
15 mars 2015 7 15 /03 /mars /2015 12:07
Un siècle d’histoire gorronnaise…

La rue Jean-Jacques Garnier (suite).

La famille Leblanc (suite)

3ème génération

La descendance de Louis Leblanc (veuf) qui, en 1861, s’est remarié avec Marthe Renard (veuve Lainé).

En 1881, un de leurs fils, Louis Leblanc (maçon), marié à Constance Rouillard, habite avec ses parents et ses frères et sœurs rue Jean-Jacques Garnier. C’est lui qui succèdera à son père.

4ème génération

En 1906, Louis Leblanc (maçon), fils de Louis Leblanc et de Constance Rouillard, a succédé à son père. En 1911, il est marié à Marie (?)

Au recensement de 1921, les Leblanc maçons ont quitté la rue Jean-Jacques Garnier. Il semble que Louis, marié à Marie, soit devenu contremaître dans une usine de chaussures. Par contre, Constance Leblanc, sa soeur, fille de Louis Leblanc et de Constance Rouillard, se marie avec Joseph Cerisier (maçon) en 1904.

5ème génération.

En 1921, Joseph Cerisier (marié à Constance Leblanc) est maçon (rue Jean-Jacques Garnier), employé chez Basile Douillet.

En 1936, on retrouve Joseph Cerisier (et Constance Leblanc), patron maçon, rue Jean-Jacques Garnier.

6ème génération

En 1962, il n’y a plus de Cerisier, maçon, rue Jean-Jacques Garnier. Un Joseph Cerisier, descendant de la famille est manœuvre brocanteur.

Illustration : le lieu où habitait la famille Leblanc.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de jouvinjc
  • : Principalement axé sur l'histoire locale (ville de Gorron), ce blog permettra de suivre régulièrement l'avancée des travaux réalisés autour de ce thème.
  • Contact

Texte Libre

Vous trouverez dans ce blog trois thèmes liés à l'histoire de la ville de Gorron. Les différents articles seront renouvelés régulièrement. Ceux qui auront été retirés sont disponibles par courriel à l'adresse suivante : jouvinjc@wanadoo.fr

Recherche