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La rue Jean-Jacques Garnier (suite).
Les familles de maçons.
Famille Garnier (suite)
1906
Louis Garnier (maçon, patron) et Ernestine Bouvet (épicière), rue Jean-Jacques Garnier.
Louis Garnier est recensé comme entrepreneur en maçonnerie, en 1911, rue Jean-Jacques Garnier.
En 1921, il n’y a plus de Louis Garnier, maçon, rue Jean-Jacques Garnier.
Famille Baudron (Beaudron)
Des difficultés apparaissent dans le suivi de cette famille. Les changements d’appellations de la rue (avant son nom : Jean-Jacques Garnier) déjà évoqués. Mais aussi la présence de plusieurs Baudron (ou Beaudron) avec le prénom Constant qui revient dans différentes familles.
En 1846, il est question du quartier du Pont-neuf et de la rue du Pont-Neuf ainsi que la rue des Palmes. On y recense, sauf erreur, un seul Baudron.
Constant Baudron (maçon), marié à Françoise Nolière, et leurs enfants Constant et Marie rue des Palmes.
En 1851, il est question de la rue du Grand Moulin et de la rue des Palmes. On y recense :
Constant Baudron et ses enfants (Constant et Marie) ainsi que sa domestique Rosalie Lory, rue des Palmes.
Jean Baudron (tailleur de pierre), sa femme Julie Leconte et ses enfants (Virginie, Constant et Marie).
Nous voyons déjà que les deux familles ont deux enfants portant le même prénom (Constant et Marie).
Illustration : famille Douillet (sans date).