Préparation d'un roman dont l'héroïne principale sera une domestique qui passera sa vie d'adulte au service d'une famille d'industriels gorronnais.
Rosalie Jouvin
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En 1876, nous avions perdu la trace de Rosalie. Des Jouvin étaient recensés à Ernée en 1876. L’hypothèse que Rosalie ait pu rejoindre aussi la ville la plus proche s’est vérifiée sur les listes de recensement de 1876. Et nous l’avons en effet retrouvée rue des Celliers dans un établissement intitulé orphelinat, dirigé par une supérieure secondée de 4 religieuses.
Corentin nous a fourni les informations suivantes sur cet établissement : « Les enfants abandonnées ou privées de soins, furent également l’objet de la sollicitude de M. Germond, qui fonda pour elles l’Orphelinat d’Ernée, une de ses œuvres les plus aimées. » C’est donc comme « privée de soins » que Rosalie s’est retrouvée élève, en 1876. Il y avait, à l’époque 38 élèves de 8 à 18 ans.
Pour l’instant nous ne savons pas quand elle a quitté l’établissement.