Paul Lecoq, agrégé de lettres classiques, inspecteur général de l’Education Nationale
Les métiers aujourd’hui disparus (suite).
Paul Lecoq évoque le bourrelier et le maréchal-ferrant.
Bourrelier : artisan qui fabrique et vend des pièces de harnais pour animaux et des articles de cuir (courroies, sacs…). En 1936, il y avait Eugène Taburet, Grande Rue, René Chemin, rue de la Houssaye, Joseph Deniau, au chômage, rue des Chauvinettes.
Maréchal-ferrant : artisan dont le métier est de ferrer les chevaux. En 1936, il y avait un patron maréchal-ferrant : René Launay, rue de Bretagne et son employé Louis Charlot.
« La vie rurale signalait un peu partout sa présence (…) par le bétail qu’on amenait à boire à la Colmont… »
On peut évoquer au moins deux points d’eau : celui situé dans le bas de la rue de l’hospice actuelle, autrefois nommée rue de l’abreuvoir ; celui situé à l’arrière de l’ancienne scierie hydraulique, rue du Pré.