La Louve de la Thiercelinais…
La muraille
Dans les années 1970/1980, un auteur à la mode, Claude Michelet, écrivait des romans style : saga familiale. La série « Des grives aux loups » était très connue à l’époque. Son premier roman, « la grande muraille » l’était moins. Pourtant, l’histoire d’un homme qui, héritier d’une pièce de terre très ingrate, passera sa vie à extraire les pierres du sol pour faire apparaître la terre et qui utilisera ces pierres pour construire une muraille entourant son domaine, m’avait frappé.
Dans « La Louve de la Thiercelinais », l’ancêtre, créateur de la ferme, s’inspire de ce personnage. Tout comme l’âne que je croise depuis des années lors de mes sorties vélo pendant les vacances d’été. Cet âne jouera aussi un rôle dans le début de mon roman.
Ecrire un roman, c’est aussi puiser dans sa propre mémoire. Différents éléments, apparemment sans liens entre eux, se retrouvent inscrits dans l’histoire au hasard de ces émergences du passé.