La Grange
En 1861
Nous retrouvons un représentant de la famille Leblanc (maçon) ; une fileuse (Laurent) ; un laboureur (Géhan) ; puis, dans le même immeuble : un rentier (Goupil), un cantonnier (Papouin), une fileuse (Caillère), un maçon (Leblanc).
Reine Quentin, n’est plus présente (elle n’est pourtant décédée qu’en 1880).. Les immeubles de la famille Garnier (la maison principale et deux petites maisons situées à sa gauche) sont vraisemblablement occupés par : Goupil, Papouin, Caillère et Leblanc.
1866
Il semble que la Grange soit intégrée, dans ce recensement, à la rue Garnier puisque nous retrouvons en fin de la liste concernant cette rue : Amédée Quentin, médecin (qui pourrait être lié à la famille Quentin veuve Garnier) ; Géhan François, laboureur ; Papouin Charles, cantonnier.
1872
La Grange est recensée avec les fermes et hameaux.
On y trouve : Géhan François (cultivateur) ; Papon Charles – Papouin ? (cordonnier) ; Leblanc Marie (journalier) ; Caillère Virginie (journalière) ; Laurent Jeanne (journalière) ; Barbé Eugène (conducteur des travaux Ponts et Chaussée).
Pendant cette dizaine d’années, les descendants de la famille Garnier ont disparu, la ferme est toujours présente ainsi que les familles Leblanc et Caillère. On peut penser que la maison principale où vivait Reine Quentin, veuve Garnier, a donc été occupée par la famille Goupil (rentier) puis Quentin (médecin) et Barbé (conducteur de travaux).
Illustration : la tombe de Reine Quentin (veuve Garnier) au cimetière de Gorron.