/image%2F0675725%2F20140928%2Fob_46cf25_img465.jpg)
L'ouvrage de Marie-Emile Herpin.
Les armes de la ville de Gorron d’après Marie-Emile Herpin (illustration ci-jointe). « Champ de trèfles rouges sur fond blanc(…) Couronne de baron. Cet écusson était fixé sur les casquettes des musiciens de la fanfare St Martin fondée par Mr le Doyen André Jacob. »
L’auteure ne nous dit pas si l’écusson correspond réellement à une famille possédant la baronnie de Gorron ou s’il a été dessiné par le Doyen Jacob. Dans l’étude faite par G. Boullard sur les familles ayant possédé la baronnie, on ne retrouve pas cet écusson.
La ville de Gorron a choisi l’écusson des derniers seigneurs de la baronnie (du Bailleul de Hercé) pour armes de la ville.
Nous allons poursuivre la lecture du document en retenant les apports personnels de l’auteure. Et, pour commencer, un extrait de l’ode au pays natal.
« A mon pays natal – Gorronnaise !
De mon pays j’aime l’histoire,
J’aime le sol, j’aime le nom ;
Du passé, je garde la mémoire,
Je suis fière de son renom.
Je sais que parfois, l’on m’accuse
De toujours vanter mon Gorron,
Mais à changer, je me refuse,
Mon amour en est la raison.
Que cela point ne vous déplaise,
Mais je l’avoue avec plaisir,
Voyez-vous, je suis Gorronnaise,
Le dire à tous, c’est mon désir. »